Après un détour par le Gabon, l’attaquant oyé est de retour à ses premières amours. Nous l’avons rencontré à Yamoussoukro à la faveur de la Super Coupe Félix Houphouët-Boigny entre l’Africa Sports et l’As Tanda.
Blagnon Goué, vous êtes, une fois de plus, de retour à l’Africa Sports après une aventure au Gabon. Etes-vous là pour vous relancer ou fixez-vous un nouveau challenge avec l’Africa ?
En réalité, je viens juste pour me relancer.
Ça été déjà le cas par le passé. Qu’est-ce qui fait que Blagnon Goué n’arrive pas à aller de l’avant ?
Je voudrais préciser que ma dernière expérience au Gabon n’a pu aboutir à cause des blessures. J’ai signé un contrat de deux ans que je n’ai pas pu conduire à terme à cause des blessures. J’ai décidé de revenir à l’Africa Sports pour me relancer, mais aussi parce que c’est le club qui m’a révélé au public sportif ivoirien. Je crois que quand ça ne va pas devant, il faut revenir pour mieux sauter.
Pourquoi se relancer forcément à l’Africa Sports ? Est-ce parce que Blagnon estime qu’une place lui est éternellement réservée ?
Ce n’est rien de tout cela. Je reviens simplement parce que je connais mieux l’Africa qui est ma maison. La preuve, je n’ai pas été aligné face à l’As Tanda (finale de la Super Coupe Félix Houphouët-Boigny). J’avais d’autres opportunités, mais je reviens à l’Africa Sports que je maitrise mieux.
Comment avez-vous trouvé la maison à ton retour ?
J’ai trouvé une maison où tout est en marche, avec une bonne dynamique. Il faut donc rester dans cette dynamique et chercher à progresser.
Vous reprenez votre place à l’Africa Sports avec une victoire en Super Coupe. Est-ce là, un bon signe pour vous ?
C’est vraiment encourageant. Je pense que cela vient galvaniser le groupe et booster l’état d’esprit afin de mieux débuter le prochain championnat.
Justement, quels sont vos objectifs personnels pour la nouvelle saison ?
C’est d’être à mon meilleur niveau et essayer d’apporter au club ce que je peux.
Savez-vous que vous êtes déjà attendu des supporters oyés ?
La pression fait partie de la vie. Je vous disais tout à l’heure que je connais la maison et donc la mentalité des supporters du club. A moi de faire en sorte que je ne sois pas critiqué par eux.
Vous avez évoqué les pépins physiques qui vous auraient handicapé au Gabon. Seriez-vous à cent pour cent pour l’Africa Sports ?
Je loue Dieu, pour l’heure, car je suis à cent pour cent de mes moyens physiques. Et j’espère que ce sera toujours ainsi, afin que je puisse apporter ce que je peux.
Pour vous qui voulez-vous relancer, pensez-vous que la Coupe de la Confédération sera une belle vitrine pour ce faire ?
Evidemment, puisque la Coupe d’Afrique engage les meilleurs des autres pays et donc c’est toujours mieux vu. C’est donc stimulant, c’est pourquoi, il est bien de toujours jouer dans des clubs qui disputent ce genre de compétition. Nous allons donc travailler en vue de montrer un meilleur visage. Parce qu’en dehors du Séwé Sports de San-Pédro ces dernières années, ça n’a pas été le cas. C’est un défi à relever. Nous avons l’opportunité de jouer une Coupe d’Afrique et nous devons tout faire pour arriver au bout.
Avec Gnahoua Lébé, vous pourrez être les plus anciens du groupe pour la Coupe d’Afrique. N’est-ce pas là une pression supplémentaire pour vous ?
J’aime la pression, je veux savoir que l’on compte sur moi quand je joue dans une équipe et c’est ce que je ressens actuellement. Le fait d’entendre dire de gauche à droite que c’est le retour de Blagnon Goué me galvanise déjà. Contrairement à ce qu’on pense, ça ne me met pas la pression mais ça m’amène à mieux travailler.
Norbert Saraka vous a-t-il confié un rôle spécifique dans cette équipe, eu égard à votre expérience ?
C’est plutôt à tous les doyens qu’il a demandé d’encadrer les plus jeunes et d’essayer de les galvaniser. Quoiqu’on dise, dans une équipe, il faut des jeunes et des doyens.
Justement, que pensez-vous des jeunes pousses trouvées sur place ?
Pour l’heure, ça va. Nous avons beaucoup qui viennent de la Ligue 2, à qui il faudra inculquer l’esprit Africa Sports, c'est-à-dire la gagne. Parce que l’Africa est un club qui a toujours besoin de résultat.
Un mot à l’endroit des supporters qui vous attendent de pieds fermes ?
C’est leur dire que je suis là. Qu’ils prient le bon Dieu pour moi afin que les blessures m’épargnent et que je puisse, en retour, répondre à leur attente.
Interview réalisée par Patrice BEKET
Blagnon Goué, vous êtes, une fois de plus, de retour à l’Africa Sports après une aventure au Gabon. Etes-vous là pour vous relancer ou fixez-vous un nouveau challenge avec l’Africa ?
En réalité, je viens juste pour me relancer.
Ça été déjà le cas par le passé. Qu’est-ce qui fait que Blagnon Goué n’arrive pas à aller de l’avant ?
Je voudrais préciser que ma dernière expérience au Gabon n’a pu aboutir à cause des blessures. J’ai signé un contrat de deux ans que je n’ai pas pu conduire à terme à cause des blessures. J’ai décidé de revenir à l’Africa Sports pour me relancer, mais aussi parce que c’est le club qui m’a révélé au public sportif ivoirien. Je crois que quand ça ne va pas devant, il faut revenir pour mieux sauter.
Pourquoi se relancer forcément à l’Africa Sports ? Est-ce parce que Blagnon estime qu’une place lui est éternellement réservée ?
Ce n’est rien de tout cela. Je reviens simplement parce que je connais mieux l’Africa qui est ma maison. La preuve, je n’ai pas été aligné face à l’As Tanda (finale de la Super Coupe Félix Houphouët-Boigny). J’avais d’autres opportunités, mais je reviens à l’Africa Sports que je maitrise mieux.
Comment avez-vous trouvé la maison à ton retour ?
J’ai trouvé une maison où tout est en marche, avec une bonne dynamique. Il faut donc rester dans cette dynamique et chercher à progresser.
Vous reprenez votre place à l’Africa Sports avec une victoire en Super Coupe. Est-ce là, un bon signe pour vous ?
C’est vraiment encourageant. Je pense que cela vient galvaniser le groupe et booster l’état d’esprit afin de mieux débuter le prochain championnat.
Justement, quels sont vos objectifs personnels pour la nouvelle saison ?
C’est d’être à mon meilleur niveau et essayer d’apporter au club ce que je peux.
Savez-vous que vous êtes déjà attendu des supporters oyés ?
La pression fait partie de la vie. Je vous disais tout à l’heure que je connais la maison et donc la mentalité des supporters du club. A moi de faire en sorte que je ne sois pas critiqué par eux.
Vous avez évoqué les pépins physiques qui vous auraient handicapé au Gabon. Seriez-vous à cent pour cent pour l’Africa Sports ?
Je loue Dieu, pour l’heure, car je suis à cent pour cent de mes moyens physiques. Et j’espère que ce sera toujours ainsi, afin que je puisse apporter ce que je peux.
Pour vous qui voulez-vous relancer, pensez-vous que la Coupe de la Confédération sera une belle vitrine pour ce faire ?
Evidemment, puisque la Coupe d’Afrique engage les meilleurs des autres pays et donc c’est toujours mieux vu. C’est donc stimulant, c’est pourquoi, il est bien de toujours jouer dans des clubs qui disputent ce genre de compétition. Nous allons donc travailler en vue de montrer un meilleur visage. Parce qu’en dehors du Séwé Sports de San-Pédro ces dernières années, ça n’a pas été le cas. C’est un défi à relever. Nous avons l’opportunité de jouer une Coupe d’Afrique et nous devons tout faire pour arriver au bout.
Avec Gnahoua Lébé, vous pourrez être les plus anciens du groupe pour la Coupe d’Afrique. N’est-ce pas là une pression supplémentaire pour vous ?
J’aime la pression, je veux savoir que l’on compte sur moi quand je joue dans une équipe et c’est ce que je ressens actuellement. Le fait d’entendre dire de gauche à droite que c’est le retour de Blagnon Goué me galvanise déjà. Contrairement à ce qu’on pense, ça ne me met pas la pression mais ça m’amène à mieux travailler.
Norbert Saraka vous a-t-il confié un rôle spécifique dans cette équipe, eu égard à votre expérience ?
C’est plutôt à tous les doyens qu’il a demandé d’encadrer les plus jeunes et d’essayer de les galvaniser. Quoiqu’on dise, dans une équipe, il faut des jeunes et des doyens.
Justement, que pensez-vous des jeunes pousses trouvées sur place ?
Pour l’heure, ça va. Nous avons beaucoup qui viennent de la Ligue 2, à qui il faudra inculquer l’esprit Africa Sports, c'est-à-dire la gagne. Parce que l’Africa est un club qui a toujours besoin de résultat.
Un mot à l’endroit des supporters qui vous attendent de pieds fermes ?
C’est leur dire que je suis là. Qu’ils prient le bon Dieu pour moi afin que les blessures m’épargnent et que je puisse, en retour, répondre à leur attente.
Interview réalisée par Patrice BEKET