La 21ème Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (Cop 21) s’est ouverte, lundi à sur le site du Paris-Bourget, en présence de 150 Chefs d’Etat et de Gouvernement.
Cette rencontre qui s'achève le 11 décembre, devra aboutir selon les attentes de la diplomatie française, «sur un accord universel et contraignant» pour limiter le réchauffement climatique.
Selon Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères de la France, qui vient d'être élu par les 196 parties comme président de la COP21, le monde fait face à deux menaces terribles, le terrorisme et le changement climatique.
«Le succès n'est pas encore acquis mais il est à notre portée", a affirmé M. Fabius.
Dans le parc d'expositions du Bourget (nord de Paris), transformé en forteresse après les attentats djihadistes du 13 novembre, l'Américain Barack Obama, le Chinois Xi Jinping, le Canadien Justin Trudeau, et d'autres chefs d'Etat de tous les continents, ont été accueillis par le président français François Hollande et le Secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, protégés par 2800 policiers et militaires en alerte.
Le marathon des négociations doit durer jusqu'au 11 décembre. Une minute de silence devait être observée vers 11h00 à la mémoire des victimes des attentats de Paris qui ont fait 130 morts.
Mardi, plusieurs chefs d'Etat assisteront au Bourget à la conférence : «Défi climatique et solutions africaines : Grande muraille verte, Lac Tchad, énergies renouvelables».
TE/od/APA
Cette rencontre qui s'achève le 11 décembre, devra aboutir selon les attentes de la diplomatie française, «sur un accord universel et contraignant» pour limiter le réchauffement climatique.
Selon Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères de la France, qui vient d'être élu par les 196 parties comme président de la COP21, le monde fait face à deux menaces terribles, le terrorisme et le changement climatique.
«Le succès n'est pas encore acquis mais il est à notre portée", a affirmé M. Fabius.
Dans le parc d'expositions du Bourget (nord de Paris), transformé en forteresse après les attentats djihadistes du 13 novembre, l'Américain Barack Obama, le Chinois Xi Jinping, le Canadien Justin Trudeau, et d'autres chefs d'Etat de tous les continents, ont été accueillis par le président français François Hollande et le Secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, protégés par 2800 policiers et militaires en alerte.
Le marathon des négociations doit durer jusqu'au 11 décembre. Une minute de silence devait être observée vers 11h00 à la mémoire des victimes des attentats de Paris qui ont fait 130 morts.
Mardi, plusieurs chefs d'Etat assisteront au Bourget à la conférence : «Défi climatique et solutions africaines : Grande muraille verte, Lac Tchad, énergies renouvelables».
TE/od/APA