Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le certificat médical ne constitue plus un obstacle pour la poursuite des auteurs de violences contre les femmes en Côte d’Ivoire, a annoncé ,jeudi à Abidjan, la ministre ivoirienne de la Solidarité, de la famille, de la femme et de l’enfant Anne-Désirée Ouloto à l’issue d’une séance de travail avec son collègue, le garde des sceaux, ministre de la justice, des droits de l’homme et des libertés publiques Mamadou Gnénéma Coulibaly.
"Nous avons décidé à compter de ce jour de la mise en place d’une plateforme de collaboration qui fera en sorte que de façon régulière nos différents obstacles et préoccupations soient pris en compte de manière précise afin d’apporter une réponse efficace à la prise en charge des familles, des femmes et des enfants en difficulté", a déclaré Mme Ouloto, faisant le compte rendu de sa séance de travail avec son collègue.
"Je voudrais aussi me rassurer et dire aux femmes et à toutes ces personnes qui sont souvent victimes de violences physiques mais en particulier de viol que nous avons découvert que le ministre lui-même a déjà pris des dispositions afin que le certificat médical ne constitue plus d’obstacle à la poursuite à l’encontre des auteurs de ces actes", a-t-elle poursuivi, s’engageant à faire la promotion la note circulaire relative à cette décision.
"Nous avons aujourd’hui une copie de cette note circulaire.Des ONG et nos structures de base feront la sensibilisation afin que cette note circulaire soit appliquée pour que le certificat médical ne pusse pas empêcher la poursuite des auteurs" des violences faites aux femmes.
Auparavant, le ministre Coulibaly a relevé que beaucoup d’efforts ont été faits au niveau de la sensibilisation. "Nous avons analysé ensemble les meilleurs moyens pour être plus efficace parce qu’à ce stade nous passons avoir fait assez de sensibilisations et qu’il nous faut passer à une vitesse supérieure" a prévenu le garde des sceaux.
LS/APA
"Nous avons décidé à compter de ce jour de la mise en place d’une plateforme de collaboration qui fera en sorte que de façon régulière nos différents obstacles et préoccupations soient pris en compte de manière précise afin d’apporter une réponse efficace à la prise en charge des familles, des femmes et des enfants en difficulté", a déclaré Mme Ouloto, faisant le compte rendu de sa séance de travail avec son collègue.
"Je voudrais aussi me rassurer et dire aux femmes et à toutes ces personnes qui sont souvent victimes de violences physiques mais en particulier de viol que nous avons découvert que le ministre lui-même a déjà pris des dispositions afin que le certificat médical ne constitue plus d’obstacle à la poursuite à l’encontre des auteurs de ces actes", a-t-elle poursuivi, s’engageant à faire la promotion la note circulaire relative à cette décision.
"Nous avons aujourd’hui une copie de cette note circulaire.Des ONG et nos structures de base feront la sensibilisation afin que cette note circulaire soit appliquée pour que le certificat médical ne pusse pas empêcher la poursuite des auteurs" des violences faites aux femmes.
Auparavant, le ministre Coulibaly a relevé que beaucoup d’efforts ont été faits au niveau de la sensibilisation. "Nous avons analysé ensemble les meilleurs moyens pour être plus efficace parce qu’à ce stade nous passons avoir fait assez de sensibilisations et qu’il nous faut passer à une vitesse supérieure" a prévenu le garde des sceaux.
LS/APA