La Haute Autorité pour la Bonne gouvernance (HAGB) a ouvert le 3 décembre, à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI), un atelier de vulgarisation des textes relatifs à la lutte contre la corruption. Cette activité qui rentre dans le cadre de la dernière phase d’une vaste campagne de sensibilisation et de moralisation de la vie publique, a pour vocation d’impliquer les différentes faîtières des élus, notamment les députés, les maires et les conseillers régionaux dans le processus d’éradication de la corruption, en conformité avec les missions de la Haute Autorité pour la Bonne gouvernance.
Mme Francine Aka Angui, conseillère à la HABG représentant le président de ladite structure à cette cérémonie, a expliqué dans son allocution la nécessité de combattre la corruption en ce qu’elle « impacte négativement la vie socio-économique et politique de la Côte d’Ivoire ».
Elle a ajouté que la corruption résulte de la « mauvaise utilisation des fonds publics » et a pour conséquence de « fausser la concurrence et de faire obstacle à l’investissement ».
L’Etat a prévu, a-t-elle souligné un arsenal juridique interne complété par des conventions internationales pour « endiguer la corruption et les infractions assimilées ».
Toutefois, elle a fait savoir qu’ « il est important de procéder à une large diffusion de ces textes auprès des élus ». Puis invité ces derniers à s’en imprégner afin de les porter à la connaissance des populations.
Pour Jacques III Achiaou, Directeur de la sensibilisation et de l’éducation à la HABG, qui a fait une présentation des textes en vigueur en matière de corruption, ce phénomène est une « pratique déviante » que les élus sont appelés à combattre par tous les moyens.
Se fondant sur leur position de privilégiés, il les a invités à « mettre en place des chartes d’éthique » dans leurs différentes communautés à l’effet de mieux juguler ce fléau. Il a en outre, annoncé la volonté affichée de son institution à lutter contre le phénomène de la corruption à « bâtir un partenariat » avec les élus en vue d’atteindre les objectifs assignés.
Selon lui, les élus sont une véritable « courroie de transmission entre sa structure et les populations ».
Cheick Tidiane Ouattara, représentant le Millenium Challenge Corporation (MCC) a, quant à lui, indiqué que la lutte contre la corruption est une question liée à la bonne gouvernance qui conditionne l’éligibilité de la Côte d’Ivoire au MCC.
Révélant que la Côte d’Ivoire a fait « des avancées notables » en matière de contrôle de la corruption, il a estimé que le processus d’éradication de la corruption « requiert une vigilance continue et une action globale ».
Mme Francine Aka Angui, conseillère à la HABG représentant le président de ladite structure à cette cérémonie, a expliqué dans son allocution la nécessité de combattre la corruption en ce qu’elle « impacte négativement la vie socio-économique et politique de la Côte d’Ivoire ».
Elle a ajouté que la corruption résulte de la « mauvaise utilisation des fonds publics » et a pour conséquence de « fausser la concurrence et de faire obstacle à l’investissement ».
L’Etat a prévu, a-t-elle souligné un arsenal juridique interne complété par des conventions internationales pour « endiguer la corruption et les infractions assimilées ».
Toutefois, elle a fait savoir qu’ « il est important de procéder à une large diffusion de ces textes auprès des élus ». Puis invité ces derniers à s’en imprégner afin de les porter à la connaissance des populations.
Pour Jacques III Achiaou, Directeur de la sensibilisation et de l’éducation à la HABG, qui a fait une présentation des textes en vigueur en matière de corruption, ce phénomène est une « pratique déviante » que les élus sont appelés à combattre par tous les moyens.
Se fondant sur leur position de privilégiés, il les a invités à « mettre en place des chartes d’éthique » dans leurs différentes communautés à l’effet de mieux juguler ce fléau. Il a en outre, annoncé la volonté affichée de son institution à lutter contre le phénomène de la corruption à « bâtir un partenariat » avec les élus en vue d’atteindre les objectifs assignés.
Selon lui, les élus sont une véritable « courroie de transmission entre sa structure et les populations ».
Cheick Tidiane Ouattara, représentant le Millenium Challenge Corporation (MCC) a, quant à lui, indiqué que la lutte contre la corruption est une question liée à la bonne gouvernance qui conditionne l’éligibilité de la Côte d’Ivoire au MCC.
Révélant que la Côte d’Ivoire a fait « des avancées notables » en matière de contrôle de la corruption, il a estimé que le processus d’éradication de la corruption « requiert une vigilance continue et une action globale ».