Abidjan (Côte d'Ivoire) - Une délégation de l’Assemblée des régions et districts de Côte d’Ivoire (ARDCI) conduite par son président, Jeannot Ahoussou Kouadio a plaidé à Paris (France) lors de la COP21, pour un financement des partenaires au développement en faveur des collectivités territoriales.
«La présence des élus de l'ARDCI à Paris s'explique par les engagements forts que nous avons pris avec nos pairs africains à Yamoussoukro. Cet engagement se résume autour de sept points contenus dans la déclaration de Yamoussoukro » a déclaré Ahoussou Kouadio cité par une note d'information transmise à APA.
Cette déclaration de Yamoussoukro, demande «la mise en œuvre d'une bonne gouvernance environnementale et l'encouragement à la création d'un mix énergétique propre incluant l'efficacité énergétique .
Développer une agriculture résiliente pour assurer la sécurité alimentaire des populations , gérer durablement les ressources naturelles et construire des villes durables ainsi que le développement des TIC au service de l'environnement, et favoriser le développement d'un cadre financier à disposition des projets climatiques, sont également au menu de la déclaration de Yamoussoukro.
En vue de soutenir les efforts des collectivités, le Président de l'ARDCI a plaidé pour un appui financier des partenaires au développement tout en souhaitant un accord contraignant qui limite le réchauffement à moins de 2°C.
«Nous attendons donc le versement effectif des sommes promises sur le Fonds Vert pour le Climat, et la prise en compte réelle des Pertes et Dommages dans l'accord qui sera signé», a ajouté le président de l'ARDCI.
Ouverte le 30 novembre, la Conférence de Paris en 2015 sur le changement climatique prend fin le 11 décembre prochain au Bourget en France.
Chaque année, les participants de cette conférence se réunissent pour décider des mesures à mettre en place, dans le but de limiter le réchauffement climatique en dessous de 2 °C. Cette convention reconnaît l'existence « d'un changement climatique ».
SY/ls/APA
«La présence des élus de l'ARDCI à Paris s'explique par les engagements forts que nous avons pris avec nos pairs africains à Yamoussoukro. Cet engagement se résume autour de sept points contenus dans la déclaration de Yamoussoukro » a déclaré Ahoussou Kouadio cité par une note d'information transmise à APA.
Cette déclaration de Yamoussoukro, demande «la mise en œuvre d'une bonne gouvernance environnementale et l'encouragement à la création d'un mix énergétique propre incluant l'efficacité énergétique .
Développer une agriculture résiliente pour assurer la sécurité alimentaire des populations , gérer durablement les ressources naturelles et construire des villes durables ainsi que le développement des TIC au service de l'environnement, et favoriser le développement d'un cadre financier à disposition des projets climatiques, sont également au menu de la déclaration de Yamoussoukro.
En vue de soutenir les efforts des collectivités, le Président de l'ARDCI a plaidé pour un appui financier des partenaires au développement tout en souhaitant un accord contraignant qui limite le réchauffement à moins de 2°C.
«Nous attendons donc le versement effectif des sommes promises sur le Fonds Vert pour le Climat, et la prise en compte réelle des Pertes et Dommages dans l'accord qui sera signé», a ajouté le président de l'ARDCI.
Ouverte le 30 novembre, la Conférence de Paris en 2015 sur le changement climatique prend fin le 11 décembre prochain au Bourget en France.
Chaque année, les participants de cette conférence se réunissent pour décider des mesures à mettre en place, dans le but de limiter le réchauffement climatique en dessous de 2 °C. Cette convention reconnaît l'existence « d'un changement climatique ».
SY/ls/APA