Le président ivoirien Alassane Ouattara a indiqué mardi que "la libération des prisonniers" de la crise postélectorale de 2010/2011, devrait se faire "dans le cadre de la loi" pour éviter le "sentiment d’impunité", lors d’une rencontre avec la commission en charge des questions de la réconciliation nationale.
Le chef de l’Etat ivoirien qui répondait à une préoccupation des responsables de la Commission nationale pour la réconciliation et l’indemnisation des victimes (CONARIV) sur le recours à la grâce présidentielle a précisé "la mise en liberté provisoire, la grâce présidentielle, la loi d’amnistie et la libération des prisonniers (..) doit se faire dans le cadre de la loi".
M. Ouattara a souligné qu’il fallait éviter de créer "le sentiment d’impunité par rapport aux victimes"
Plusieurs prisonniers proches de l’ex-président Laurent Gbagbo, en détention après la crise post-électorale qui a fait officiellement plus de 3.000 morts, ont bénéficié pour la plupart d’une liberté provisoire.
Selon le Front populaire ivoirien (FPI, opposition), parti de Gbagbo, plus de 400 autres "détenus politiques" demeurent encore incarcérés
DEK
Le chef de l’Etat ivoirien qui répondait à une préoccupation des responsables de la Commission nationale pour la réconciliation et l’indemnisation des victimes (CONARIV) sur le recours à la grâce présidentielle a précisé "la mise en liberté provisoire, la grâce présidentielle, la loi d’amnistie et la libération des prisonniers (..) doit se faire dans le cadre de la loi".
M. Ouattara a souligné qu’il fallait éviter de créer "le sentiment d’impunité par rapport aux victimes"
Plusieurs prisonniers proches de l’ex-président Laurent Gbagbo, en détention après la crise post-électorale qui a fait officiellement plus de 3.000 morts, ont bénéficié pour la plupart d’une liberté provisoire.
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