Un atelier de formation, sensibilisation des acteurs de la filière halieutique et de validation des esquisses des dispositions normatives et règlementaires liées aux pertes post-capture s’est ouvert ce mercredi à Abidjan.
Cet Atelier organisé par le ministère des Ressources animales et halieutiques avec l’appui de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation (FAO) vise à contribuer à l’amélioration du cadre juridique d’intervention des acteurs et à un accès des populations aux produits halieutiques de qualité. Il projette instituer à terme, un dispositif de prévention et de réduction des pertes post-captures en Côte d’Ivoire en vue d’une lutte efficace à tous les stades de la chaîne de valeur des produits halieutiques, a indiqué le ministre des ressources animales et halieutiques, Adjoumani Kouassi.
Pour justifier l’importance de cet Atelier, le ministre indiquera que dans un contexte global de changement climatique et ses corollaires sur les ressources naturelles, les pertes constituent aussi une préoccupation de taille car elles traduisent un gaspillage d’intrants tels l’énergie et l’eau, pour générer des produits dont personne ne profite en fin de compte.
Germain Dasylva, Représentant de la FAO en Côte d’Ivoire a indiqué que ce plus de 400.000 personnes dont principalement des femmes qui vivent essentiellement de la pêche et de la transformation des produits halieutiques. Ces activités concourent au renforcement de la sécurité alimentaire avec 60% des apports en protéines animales, et à l’amélioration des conditions de vie des communautés de pêche artisanale. Il a en outre révélé que la filière enregistre d’importantes pertes après captures qui atteignent parfois 20 à 50% des prises et constituent dans le secteur de la transformation artisanale de poisson des pertes économiques d’environ 18% de la valeur marchande des produits.
« Les produits halieutiques à mettre sur le marché doivent obéir à un certain nombre de normes et de critères pour être consommables sans risques de maladies et obéissant aux normes internationales pour l’exportation », a conclu Germain Dasylva. Cet atelier débuté mercredi prendra fin jeudi.
Elisée B.
Cet Atelier organisé par le ministère des Ressources animales et halieutiques avec l’appui de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation (FAO) vise à contribuer à l’amélioration du cadre juridique d’intervention des acteurs et à un accès des populations aux produits halieutiques de qualité. Il projette instituer à terme, un dispositif de prévention et de réduction des pertes post-captures en Côte d’Ivoire en vue d’une lutte efficace à tous les stades de la chaîne de valeur des produits halieutiques, a indiqué le ministre des ressources animales et halieutiques, Adjoumani Kouassi.
Pour justifier l’importance de cet Atelier, le ministre indiquera que dans un contexte global de changement climatique et ses corollaires sur les ressources naturelles, les pertes constituent aussi une préoccupation de taille car elles traduisent un gaspillage d’intrants tels l’énergie et l’eau, pour générer des produits dont personne ne profite en fin de compte.
Germain Dasylva, Représentant de la FAO en Côte d’Ivoire a indiqué que ce plus de 400.000 personnes dont principalement des femmes qui vivent essentiellement de la pêche et de la transformation des produits halieutiques. Ces activités concourent au renforcement de la sécurité alimentaire avec 60% des apports en protéines animales, et à l’amélioration des conditions de vie des communautés de pêche artisanale. Il a en outre révélé que la filière enregistre d’importantes pertes après captures qui atteignent parfois 20 à 50% des prises et constituent dans le secteur de la transformation artisanale de poisson des pertes économiques d’environ 18% de la valeur marchande des produits.
« Les produits halieutiques à mettre sur le marché doivent obéir à un certain nombre de normes et de critères pour être consommables sans risques de maladies et obéissant aux normes internationales pour l’exportation », a conclu Germain Dasylva. Cet atelier débuté mercredi prendra fin jeudi.
Elisée B.