Des agriculteurs et éleveurs, réunis jeudi à Korhogo pour débattre de la récurrence des conflits qui les opposent, ont admis la nécessité d’une cohabitation pacifique, convaincus de la complémentarité de leurs deux activités.
"Le mot agriculture comprend à la fois les productions végétales et animales. C’est donc un conflit entre deux membres d’une même famille, membres complémentaires et indispensables l’un à l’autre", a expliqué Dr Traoré Moussa, du programme d’appui au développement de l’élevage en Côte d’Ivoire (Padeci), à l’entame d’une conférence sur le thème "conflits agriculteurs-éleveurs, quelles solutions durables pour une cohabitation pacifique".
Par la suite, les intervenants, qu’ils soient éleveurs ou agriculteurs, ont joint leur voix à celle de Dr Traoré, soit pour examiner les causes de ces conflits, soit pour en déplorer les conséquences "catastrophiques" sur les plans social, économique et politique, avant d’émettre, en conclusion, le souhait d’une cohabitation sans heurts qui serait bénéfique pour à chacun.
kaem/ask
"Le mot agriculture comprend à la fois les productions végétales et animales. C’est donc un conflit entre deux membres d’une même famille, membres complémentaires et indispensables l’un à l’autre", a expliqué Dr Traoré Moussa, du programme d’appui au développement de l’élevage en Côte d’Ivoire (Padeci), à l’entame d’une conférence sur le thème "conflits agriculteurs-éleveurs, quelles solutions durables pour une cohabitation pacifique".
Par la suite, les intervenants, qu’ils soient éleveurs ou agriculteurs, ont joint leur voix à celle de Dr Traoré, soit pour examiner les causes de ces conflits, soit pour en déplorer les conséquences "catastrophiques" sur les plans social, économique et politique, avant d’émettre, en conclusion, le souhait d’une cohabitation sans heurts qui serait bénéfique pour à chacun.
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