Bouaké (Côte d'Ivoire) - Bouaké, la deuxième ville de Côte d’Ivoire, située à 379 km au Nord d’Abidjan, la capitale économique ivoirienne a été la plaque tournante des nombreuses grèves et revendications sociales qui ont perturbé le pays en 2015.
Les étudiants de l'Institut national de formation des agents de santé (INFAS) de Bouaké, privés de cours depuis trois semaines, du fait d'une grève déclenchée par leurs enseignants, ont organisé le mardi 27 janvier 2015 dans les rues de la ville, une marche de protestation pour réclamer le retour de leurs professeurs dans les salles de classes.
Ces mêmes futurs agents de la santé remettront cela le 17 décembre dernier en paralysant la circulation sur le Boulevard du Centre hospitalier universitaire (CHU de Bouaké), pendant près de 3 heures. Ils réclamaient le paiement de six mois d'arriérés de bourse et de meilleurs conditions d'études.
En mars 2015, ce sont respectivement les agents des Eaux et forêts, les enseignants du secondaire, les étudiants de l'Université Alassane Ouattara, des employés licenciés de l'Union des transporteurs de Bouaké (UTB, compagnie de transport) qui ont fait savoir leur mécontentement en manifestant souvent bruyamment à Bouaké.
Les autres mois qui ont suivi, c'était au tour de plusieurs syndicats d'enseignants du secondaire, des professeurs d'éducation physique et sportive (EPS), des ex-combattants, des élèves du secondaire, des chauffeurs de taxi-moto, d'un groupe d'ex-enseignants volontaires de faire entendre leur voix dans les rues de la 2ème ville du pays.
Il y a seulement quelques jours, le 29 décembre 2015, quelques 151 employés de l'usine de transformation de noix de cajou Olam Bouaké ont dénoncé à travers un sit-in organisé dans l'enceinte de l'inspection du travail de ladite ville, un licenciement abusif de leur employeur, expliquant que cette décision ne respectait pas les lois du travail en vigueur en Côte d'Ivoire.
CK/ls
Les étudiants de l'Institut national de formation des agents de santé (INFAS) de Bouaké, privés de cours depuis trois semaines, du fait d'une grève déclenchée par leurs enseignants, ont organisé le mardi 27 janvier 2015 dans les rues de la ville, une marche de protestation pour réclamer le retour de leurs professeurs dans les salles de classes.
Ces mêmes futurs agents de la santé remettront cela le 17 décembre dernier en paralysant la circulation sur le Boulevard du Centre hospitalier universitaire (CHU de Bouaké), pendant près de 3 heures. Ils réclamaient le paiement de six mois d'arriérés de bourse et de meilleurs conditions d'études.
En mars 2015, ce sont respectivement les agents des Eaux et forêts, les enseignants du secondaire, les étudiants de l'Université Alassane Ouattara, des employés licenciés de l'Union des transporteurs de Bouaké (UTB, compagnie de transport) qui ont fait savoir leur mécontentement en manifestant souvent bruyamment à Bouaké.
Les autres mois qui ont suivi, c'était au tour de plusieurs syndicats d'enseignants du secondaire, des professeurs d'éducation physique et sportive (EPS), des ex-combattants, des élèves du secondaire, des chauffeurs de taxi-moto, d'un groupe d'ex-enseignants volontaires de faire entendre leur voix dans les rues de la 2ème ville du pays.
Il y a seulement quelques jours, le 29 décembre 2015, quelques 151 employés de l'usine de transformation de noix de cajou Olam Bouaké ont dénoncé à travers un sit-in organisé dans l'enceinte de l'inspection du travail de ladite ville, un licenciement abusif de leur employeur, expliquant que cette décision ne respectait pas les lois du travail en vigueur en Côte d'Ivoire.
CK/ls