Tabou, 04 Jan (AIP) – L’éclatement de pétards dans le quartier de « Tiobo-Tiobo » a créé pendant plusieurs heures une peur panique au sein de la population de Tabou lors de la Saint Sylvestre, aux environs de 21h.
De nombreux habitants de Tabou ont expliqué qu’ils ont cru à des détonations d’armes à feu, et ont donc cherché à se mettre à l’abri. « Les bruits de pétards rappellent le mauvais souvenir de la crise postélectorale au cours de laquelle les armes ont crépité dans notre ville. C’est pourquoi il y a eu une panique générale », a expliqué Roger Kouassi, enseignant.
Ces pétards ont mis les forces de l’ordre et les casques bleus de l’ONUCI en alerte. Certains magasins, coiffures et maquis ont fermé avant de rouvrir après les assurances données par les forces de l’ordre qui se sont rendues dans le quartier de « Tiobo-Tiobo » où des individus ont été interpellés. L’interdiction des pétards avait pourtant été réaffirmée par le Gouvernement à la veille des fêtes de fin d’année, une décision largement ignorée par les populations, a-t-on remarqué.
À part cet incident, la fête s’est bien déroulée à Tabou. La population s’est retrouvée massivement dans les lieux de culte avant de se déverser dans les maquis et bars où elle a dansé et chanté jusqu’au petit matin. Certains ont préféré fêter à domicile. Dans la journée du 1er janvier, des sorties-détentes ont été organisées sur les nombreuses plages de la localité.
(AIP)
bb/aaa/ask
De nombreux habitants de Tabou ont expliqué qu’ils ont cru à des détonations d’armes à feu, et ont donc cherché à se mettre à l’abri. « Les bruits de pétards rappellent le mauvais souvenir de la crise postélectorale au cours de laquelle les armes ont crépité dans notre ville. C’est pourquoi il y a eu une panique générale », a expliqué Roger Kouassi, enseignant.
Ces pétards ont mis les forces de l’ordre et les casques bleus de l’ONUCI en alerte. Certains magasins, coiffures et maquis ont fermé avant de rouvrir après les assurances données par les forces de l’ordre qui se sont rendues dans le quartier de « Tiobo-Tiobo » où des individus ont été interpellés. L’interdiction des pétards avait pourtant été réaffirmée par le Gouvernement à la veille des fêtes de fin d’année, une décision largement ignorée par les populations, a-t-on remarqué.
À part cet incident, la fête s’est bien déroulée à Tabou. La population s’est retrouvée massivement dans les lieux de culte avant de se déverser dans les maquis et bars où elle a dansé et chanté jusqu’au petit matin. Certains ont préféré fêter à domicile. Dans la journée du 1er janvier, des sorties-détentes ont été organisées sur les nombreuses plages de la localité.
(AIP)
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