Agboville - Le département d’Agboville est devenu depuis peu une zone tranquille et fréquentable, a affirmé le préfet de région, préfet du département d’Agboville, Bako Privat, à la faveur de la cérémonie de présentation des vœux du nouvel an des forces vives de la région au corps préfectoral, vendredi à la préfecture.
« Je suis à ma sixième cérémonie de présentation de vœux ici à Agboville et je puis affirmer que nous sommes devenus une zone où il fait bon vivre, malgré les quelques vols et agressions inhérentes à toutes les villes », a déclaré le préfet, répondant aux directeurs des services de l’administration déconcentrée qui s’inquiétaient des vols et pillages de domiciles et bureaux.
Selon Bako Privat, les attaques des corridors sont aujourd’hui de mauvais souvenirs grâce aux efforts conjugués de tous. Il a rendu un hommage aux chefs et aux populations autochtones qualifiées de « difficiles », mais dont « l’attitude nouvelle rassure », vu qu’elles sont devenues « moins réactives » face à des situations qui auraient entraîné des mouvements d’humeur généralisée.
Aux hommes de dieu, le préfet a demandé de ne pas faire le lit de ceux qui viendront « nous tuer demain », mais d’aider les autorités locales, dans leurs prêches et homélies de tous les jours à encadrer les populations, afin que se perpétue l’espoir d’un « Agboville nouveau ».
(AIP)
Dd/kp
« Je suis à ma sixième cérémonie de présentation de vœux ici à Agboville et je puis affirmer que nous sommes devenus une zone où il fait bon vivre, malgré les quelques vols et agressions inhérentes à toutes les villes », a déclaré le préfet, répondant aux directeurs des services de l’administration déconcentrée qui s’inquiétaient des vols et pillages de domiciles et bureaux.
Selon Bako Privat, les attaques des corridors sont aujourd’hui de mauvais souvenirs grâce aux efforts conjugués de tous. Il a rendu un hommage aux chefs et aux populations autochtones qualifiées de « difficiles », mais dont « l’attitude nouvelle rassure », vu qu’elles sont devenues « moins réactives » face à des situations qui auraient entraîné des mouvements d’humeur généralisée.
Aux hommes de dieu, le préfet a demandé de ne pas faire le lit de ceux qui viendront « nous tuer demain », mais d’aider les autorités locales, dans leurs prêches et homélies de tous les jours à encadrer les populations, afin que se perpétue l’espoir d’un « Agboville nouveau ».
(AIP)
Dd/kp
