Le Johannesburg Stock Exchange, la bourse sud-africaine a perdu sa place de première bourse africaine au profit de la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm) d’Abidjan.
Bravo ! C’est le moindre qu’on puisse dire au directeur général de la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm) d’Abidjan, Edoh Kossi Amenounve et son équipe. Créée le 18 décembre 1996, la Brvm a été pour la première fois classée en tête des bourses africaines en termes de progression de son indice de toutes les valeurs cotées, principalement l’indice composite Brvm. La Brvm a terminée l’année 2015 avec une progression de 17,77 % de son indice Composite (Brvm Composite), en forte progression par rapport aux autres bourses. Cet exploit selon certains observateurs est dû à la bonne croissance économique en Côte d’Ivoire et dans l’espace de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) ainsi qu’aux perspectives de développement de l’Union qui la rendent attractive pour les investisseurs. Alors que les principales bourses mondiales ont subi les effets de la stagnation de l’activité économique, de la baisse du prix du baril de pétrole et des contre-performances des pays émergents. La Brvm a terminé l’année 2015 avec une capitalisation du marché des actions de 7.499,7 milliards de Fcfa, soit une progression de 18,67 % en un an. Pour rappel la bourse sud-africaine, le Johannesburg Stock Exchange avait été classée première bourse africaine en terme de capitalisation par les plus grandes bourses africaines établi par banque d’investissement African Alliance en 2014. Ayant pour fonction l’organisation du marché boursier et la diffusion des informations boursière, elle regroupe le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo et la Côte d’Ivoire où est établi son Siège. La Brvm est l’unique bourse au monde commune à plusieurs pays. L’on peut dire que la nouvelle politique mise sur pied par Edoh Kossi Amenounve et son équipe pour attirer plus d’investisseurs dans l’Uemoa connaît un franc succès.
Arnaud HOUSSOU
Bravo ! C’est le moindre qu’on puisse dire au directeur général de la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm) d’Abidjan, Edoh Kossi Amenounve et son équipe. Créée le 18 décembre 1996, la Brvm a été pour la première fois classée en tête des bourses africaines en termes de progression de son indice de toutes les valeurs cotées, principalement l’indice composite Brvm. La Brvm a terminée l’année 2015 avec une progression de 17,77 % de son indice Composite (Brvm Composite), en forte progression par rapport aux autres bourses. Cet exploit selon certains observateurs est dû à la bonne croissance économique en Côte d’Ivoire et dans l’espace de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) ainsi qu’aux perspectives de développement de l’Union qui la rendent attractive pour les investisseurs. Alors que les principales bourses mondiales ont subi les effets de la stagnation de l’activité économique, de la baisse du prix du baril de pétrole et des contre-performances des pays émergents. La Brvm a terminé l’année 2015 avec une capitalisation du marché des actions de 7.499,7 milliards de Fcfa, soit une progression de 18,67 % en un an. Pour rappel la bourse sud-africaine, le Johannesburg Stock Exchange avait été classée première bourse africaine en terme de capitalisation par les plus grandes bourses africaines établi par banque d’investissement African Alliance en 2014. Ayant pour fonction l’organisation du marché boursier et la diffusion des informations boursière, elle regroupe le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Togo et la Côte d’Ivoire où est établi son Siège. La Brvm est l’unique bourse au monde commune à plusieurs pays. L’on peut dire que la nouvelle politique mise sur pied par Edoh Kossi Amenounve et son équipe pour attirer plus d’investisseurs dans l’Uemoa connaît un franc succès.
Arnaud HOUSSOU