Après sa désignation comme chef du gouvernement burkinabé par Roch Marc Christian Kaboré, l’administrateur délégué du Fonds de stabilité financière de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) Paul Kaba Thiéba, a regagné le Burkina le jeudi 7 janvier 2016 en provenance de Dakar au Sénégal. M. Thiéba a également occupé plusieurs fonctions au sein de la Banque centrale des Etats d’Afrique de l’Ouest (BCEAO) où il a notamment été conseiller. Agé de 55 ans et titulaire d’un doctorat en monnaie, finances et banque, le nouveau premier ministre burkinabé est marié et père de trois enfants. Il a en charge la formation du nouveau gouvernement. Dans son message de nouvel an, le Président Burkinabé Roch Marc Christian Kaboré a exprimé sa volonté de cooperer avec la communauté internationale : « Depuis son accession à la souveraineté nationale et internationale, notre pays a toujours bénéficié de la solidarité et de l’assistance de nombreux pays à travers les continents ainsi que des partenaires techniques et financiers.
Je voudrais en votre nom à tous, témoigner notre gratitude à la communauté internationale, à nos partenaires techniques et financiers, aux ambassadeurs et aux membres du corps diplomatique accrédités au Burkina Faso, ainsi qu’à tous les amis du Burkina Faso à l’étranger pour les nombreuses sollicitudes à l’endroit du peuple burkinabé.
Aussi, à l’orée de l’ouverture d’une ère nouvelle de l’histoire de notre pays, marquée par le retour à un régime constitutionnel normal, je voudrais lancer un appel vibrant pour une solidarité internationale plus agissante en faveur du peuple burkinabé, désireux de consolider à jamais, les solides acquis de sa démocratie».
T.A.B
Je voudrais en votre nom à tous, témoigner notre gratitude à la communauté internationale, à nos partenaires techniques et financiers, aux ambassadeurs et aux membres du corps diplomatique accrédités au Burkina Faso, ainsi qu’à tous les amis du Burkina Faso à l’étranger pour les nombreuses sollicitudes à l’endroit du peuple burkinabé.
Aussi, à l’orée de l’ouverture d’une ère nouvelle de l’histoire de notre pays, marquée par le retour à un régime constitutionnel normal, je voudrais lancer un appel vibrant pour une solidarité internationale plus agissante en faveur du peuple burkinabé, désireux de consolider à jamais, les solides acquis de sa démocratie».
T.A.B