BANGUI -- Les élections présidentielle et legislatives ont commencé mercredi en République centrafricaine comme prévu, mais avec un retard de l’ouverture des bureaux de vote à cause des problèmes logistiques.
Ce double scrutin initialement programmé dimanche a été reporté de trois jours à cause des problèmes de matériels. Quelque 1,9 million d’électeurs inscrits sont attendus aux urnes dans 5.996 bureaux de vote répartis dans les 16 préfectures de la Centrafrique, dont environ 700 à Bangui.
30 candidats sont en lice pour la présidence et 1.642 autres postulants pour les 140 sièges à pourvoir à l’Assemblée nationale (Parlement), selon les chiffres publiés par l’Autorité nationale des élections (ANE).
Ce rendez-vous intervient après la tenue d’un référendum constitutionnel pour l’adoption d’une nouvelle loi fondamentale le 13 décembre, scrutin émaillé de violences meurtrières à Bangui et plusieurs autres villes du pays sous contrôle de mouvements rebelles, dont le Front patriotique pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC) de Nourredine Adam, ex-numéro deux de la Séléka.
Lors du référendum, la participation a été faible : 26% à Bangui et 33% sur l’ensemble du territoire, selon les chiffres officiels publiés par la Cour constitutionnelle centrafricaine, à qui revient le rôle de la proclamation des résultats définitifs des élections.
Ces élections, censées permettre de mettre un terme à trois ans de guerre civile, auraient en principe dû avoir lieu depuis 2014, mais le calendrier n’a cessé d’être révisé en raison notamment de la persistance des violences dans le pays.
Ce double scrutin initialement programmé dimanche a été reporté de trois jours à cause des problèmes de matériels. Quelque 1,9 million d’électeurs inscrits sont attendus aux urnes dans 5.996 bureaux de vote répartis dans les 16 préfectures de la Centrafrique, dont environ 700 à Bangui.
30 candidats sont en lice pour la présidence et 1.642 autres postulants pour les 140 sièges à pourvoir à l’Assemblée nationale (Parlement), selon les chiffres publiés par l’Autorité nationale des élections (ANE).
Ce rendez-vous intervient après la tenue d’un référendum constitutionnel pour l’adoption d’une nouvelle loi fondamentale le 13 décembre, scrutin émaillé de violences meurtrières à Bangui et plusieurs autres villes du pays sous contrôle de mouvements rebelles, dont le Front patriotique pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC) de Nourredine Adam, ex-numéro deux de la Séléka.
Lors du référendum, la participation a été faible : 26% à Bangui et 33% sur l’ensemble du territoire, selon les chiffres officiels publiés par la Cour constitutionnelle centrafricaine, à qui revient le rôle de la proclamation des résultats définitifs des élections.
Ces élections, censées permettre de mettre un terme à trois ans de guerre civile, auraient en principe dû avoir lieu depuis 2014, mais le calendrier n’a cessé d’être révisé en raison notamment de la persistance des violences dans le pays.