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Cérémonie de passation de charges entre le nouveau Ministre de la Défense Alain - Richard Donwahi et son prédécesseur Paul Koffi Koffi, ce jeudi 14 janvier 2016, dans la salle de conférence dudit ministère au Plateau.
Signatures de parapheurs, chaudes poignées de mains. Alain - Richard Donwahi est désormais aux commandes du Ministère auprès du Président de la République chargé de la Défense. La passation de charge avec son prédécesseur, Paul Koffi Koffi désormais Ministre de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, s’est déroulée ce jeudi 14 janvier 2016, dans la salle de conférence dudit ministère au Plateau, sous la supervision de M. Mohamed Kamagaté, Conseiller technique, représentant le Secrétaire Général du gouvernement. La rencontre a enregistré la présence de la haute hiérarchie militaire, notamment, le chef d’Etat-Major des Armées, le Général Soumaïla Bakayoko.
Le Ministre sortant part confiant de la Défense, car selon lui son successeur qu’il connaît bien est un homme du sérail. Avant donc de servir à ce poste, a-t-il rappelé, M. Donwahi était Conseiller Spécial du Président de la République, chargé des questions de Défense et de Sécurité et Secrétaire du Conseil National de Sécurité (CNS). Paul Koffi Koffi a, par ailleurs, traduit sa gratitude au Chef de l’Etat, de leur avoir confié à tous les deux depuis 2012, le ‘’grand chantier’’ de la Réforme du secteur de la sécurité (RSS) qui a abouti, a-t-il mentionné, à la Loi de Programmation Militaire 2016-2020 adoptée à l’unanimité en session extraordinaire à l’Assemblée nationale le 4 janvier 2016. Pour Paul Koffi Koffi, le nouveau Ministre devra surtout travailler au renforcement des capacités et à la pérennisation des acquis en matière de Défense. Au nombre de ces acquis : ‘’l’indice de sécurité qui était de plus de 3.8 en janvier 2012 est passé à 1.1 à ce jour’’, le taux de présence des effectifs entre 55 et 60% au lendemain de la crise postélectorale qui avoisine aujourd’hui les 99%.
‘’Nous ferons en sorte de ne pas trahir la confiance qui a été placée en nous et le travail qui a déjà été fait’’, a tranquillisé, d’entrée, le ministre Donwahi. Il s’est dit heureux d’hériter d’une administration où les fondamentaux sont déjà acquis. ‘’Je pense que les Armées aujourd’hui ont un cadre qu’il faut falloir remplir mais nous ne serons plus dans l’urgence’’, s’est-il réjoui tout en promettant de faire en sorte que la vison du Chef de l’Etat en matière de Défense s’applique.
Danielle Tagro
Signatures de parapheurs, chaudes poignées de mains. Alain - Richard Donwahi est désormais aux commandes du Ministère auprès du Président de la République chargé de la Défense. La passation de charge avec son prédécesseur, Paul Koffi Koffi désormais Ministre de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, s’est déroulée ce jeudi 14 janvier 2016, dans la salle de conférence dudit ministère au Plateau, sous la supervision de M. Mohamed Kamagaté, Conseiller technique, représentant le Secrétaire Général du gouvernement. La rencontre a enregistré la présence de la haute hiérarchie militaire, notamment, le chef d’Etat-Major des Armées, le Général Soumaïla Bakayoko.
Le Ministre sortant part confiant de la Défense, car selon lui son successeur qu’il connaît bien est un homme du sérail. Avant donc de servir à ce poste, a-t-il rappelé, M. Donwahi était Conseiller Spécial du Président de la République, chargé des questions de Défense et de Sécurité et Secrétaire du Conseil National de Sécurité (CNS). Paul Koffi Koffi a, par ailleurs, traduit sa gratitude au Chef de l’Etat, de leur avoir confié à tous les deux depuis 2012, le ‘’grand chantier’’ de la Réforme du secteur de la sécurité (RSS) qui a abouti, a-t-il mentionné, à la Loi de Programmation Militaire 2016-2020 adoptée à l’unanimité en session extraordinaire à l’Assemblée nationale le 4 janvier 2016. Pour Paul Koffi Koffi, le nouveau Ministre devra surtout travailler au renforcement des capacités et à la pérennisation des acquis en matière de Défense. Au nombre de ces acquis : ‘’l’indice de sécurité qui était de plus de 3.8 en janvier 2012 est passé à 1.1 à ce jour’’, le taux de présence des effectifs entre 55 et 60% au lendemain de la crise postélectorale qui avoisine aujourd’hui les 99%.
‘’Nous ferons en sorte de ne pas trahir la confiance qui a été placée en nous et le travail qui a déjà été fait’’, a tranquillisé, d’entrée, le ministre Donwahi. Il s’est dit heureux d’hériter d’une administration où les fondamentaux sont déjà acquis. ‘’Je pense que les Armées aujourd’hui ont un cadre qu’il faut falloir remplir mais nous ne serons plus dans l’urgence’’, s’est-il réjoui tout en promettant de faire en sorte que la vison du Chef de l’Etat en matière de Défense s’applique.
Danielle Tagro
