Le local servant de bureau aux infirmiers et au médecin du centre de santé urbain (CSU) de la sous-préfecture de Bazré, située dans le département de Sinfra, n’est pas adapté au rang de cette structure sanitaire, selon un infirmier.
Vendredi, lors d’un entretien avec le journaliste de l’AIP Gagnoa de passage au CSU de Bazré, l’infirmier de service, Franck Somi, a fait savoir que le local n’est pas ‘’approprié’’.
‘’Ici nous utilisons toujours le local du dispensaire d’un centre de santé rural (CSR), alors que nous sommes cinq infirmiers et un médecin qui travaillons dans le désormais centre de santé urbain de Bazré. Le local est exigu, il n’y a pas de bureau de consultation à proprement parler, nous avons transformé la salle de soins en bureau de consultation. De plus, nous n’avons pas de toilette ou du moins de latrine’’, a expliqué M. Somi, regrettant le manque de laboratoire qui oblige les malades à se rendre à Kononfla (à une dizaine de kilomètres), pour les examens médicaux.
Pour cet infirmier diplômé d’Etat, si on veut tendre vers des normes minima, la construction d’un nouveau bâtiment avec des toilettes et un laboratoire d’analyses médicales s’impose pour un véritable CSU. Il relevé également le manque de logements pour le personnel soignant, précisant que sur les cinq infirmiers et deux sages-femmes, seul un infirmier et une sage-femme bénéficient de logements.
ja/cmas
Vendredi, lors d’un entretien avec le journaliste de l’AIP Gagnoa de passage au CSU de Bazré, l’infirmier de service, Franck Somi, a fait savoir que le local n’est pas ‘’approprié’’.
‘’Ici nous utilisons toujours le local du dispensaire d’un centre de santé rural (CSR), alors que nous sommes cinq infirmiers et un médecin qui travaillons dans le désormais centre de santé urbain de Bazré. Le local est exigu, il n’y a pas de bureau de consultation à proprement parler, nous avons transformé la salle de soins en bureau de consultation. De plus, nous n’avons pas de toilette ou du moins de latrine’’, a expliqué M. Somi, regrettant le manque de laboratoire qui oblige les malades à se rendre à Kononfla (à une dizaine de kilomètres), pour les examens médicaux.
Pour cet infirmier diplômé d’Etat, si on veut tendre vers des normes minima, la construction d’un nouveau bâtiment avec des toilettes et un laboratoire d’analyses médicales s’impose pour un véritable CSU. Il relevé également le manque de logements pour le personnel soignant, précisant que sur les cinq infirmiers et deux sages-femmes, seul un infirmier et une sage-femme bénéficient de logements.
ja/cmas