Le président ivoirien Alassane Ouattara et son homologue du Liberia, Ellen Johnson Sirleaf, doivent se rencontrer lundi à Guiglo (Ouest, 516 km d’Abidjan) en vue de renforcer le dialogue entre les communautés et la sécurité dans la région frontalière entre leurs deux pays.
Selon la présidence ivoirienne, Mme Sirleaf, attendue en début de soirée dimanche à Abidjan, va participer avec Alassane Ouattara à la deuxième réunion du "Conseil conjoint des chefs et des anciens" des zones frontalières du Liberia et de la Côte d’Ivoire avec au menu la sécurité transfrontalière et le retour des exilés ivoiriens.
Le "Conseil conjoint des chefs et des anciens" est un cadre d’échanges entre les chefs traditionnels, les autorités administratives locales, les chefs des missions onusiennes dans les deux pays en vue d’assurer la sécurité, la réconciliation et une paix durable dans la zone frontalière.
La première rencontre du Conseil s’est tenue à Zwedru (Liberia) du 17 au 19 octobre 2013 en présence des deux chefs d’Etat.
L’Ouest ivoirien, théâtre de plusieurs attaques meurtrières de groupes armés en provenance du Liberia, a payé un lourd tribut à la crise post-électorale de 2010 qui a fait au moins 3 000 morts en Côte d’Ivoire et près de 300 000 exilés.
Le Liberia a accueilli le plus gros lot d’exilés et le HCR estime à 38 000 le nombre d’Ivoiriens encore réfugiés dans le pays.
"11.000 de ces réfugiés ont exprimé leur désir de retourner dès que possible et l’inscription de nouveaux candidats est en cours", affirme le HCR qui a annoncé depuis décembre dernier la reprise de l’opération de rapatriement volontaire des Ivoiriens réfugiés au Liberia.
Lancée en 2012, l’opération avait été suspendue en juillet 2014 en raison de l’épidémie à virus Ebola qui sévissait dans ce pays d’accueil.
Près de 20.000 autres Ivoiriens sont encore réfugiés au Ghana, en Guinée, au Togo et au Mali.
Le HCR est engagé dans des pourparlers avec les autorités de ces autres pays hôtes afin de faciliter le rapatriement volontaire des réfugiés ivoiriens.
Selon la présidence ivoirienne, Mme Sirleaf, attendue en début de soirée dimanche à Abidjan, va participer avec Alassane Ouattara à la deuxième réunion du "Conseil conjoint des chefs et des anciens" des zones frontalières du Liberia et de la Côte d’Ivoire avec au menu la sécurité transfrontalière et le retour des exilés ivoiriens.
Le "Conseil conjoint des chefs et des anciens" est un cadre d’échanges entre les chefs traditionnels, les autorités administratives locales, les chefs des missions onusiennes dans les deux pays en vue d’assurer la sécurité, la réconciliation et une paix durable dans la zone frontalière.
La première rencontre du Conseil s’est tenue à Zwedru (Liberia) du 17 au 19 octobre 2013 en présence des deux chefs d’Etat.
L’Ouest ivoirien, théâtre de plusieurs attaques meurtrières de groupes armés en provenance du Liberia, a payé un lourd tribut à la crise post-électorale de 2010 qui a fait au moins 3 000 morts en Côte d’Ivoire et près de 300 000 exilés.
Le Liberia a accueilli le plus gros lot d’exilés et le HCR estime à 38 000 le nombre d’Ivoiriens encore réfugiés dans le pays.
"11.000 de ces réfugiés ont exprimé leur désir de retourner dès que possible et l’inscription de nouveaux candidats est en cours", affirme le HCR qui a annoncé depuis décembre dernier la reprise de l’opération de rapatriement volontaire des Ivoiriens réfugiés au Liberia.
Lancée en 2012, l’opération avait été suspendue en juillet 2014 en raison de l’épidémie à virus Ebola qui sévissait dans ce pays d’accueil.
Près de 20.000 autres Ivoiriens sont encore réfugiés au Ghana, en Guinée, au Togo et au Mali.
Le HCR est engagé dans des pourparlers avec les autorités de ces autres pays hôtes afin de faciliter le rapatriement volontaire des réfugiés ivoiriens.