Après la Présidence de la République de Côte d’Ivoire, ce sera sûrement le tour de l'Assemblée nationale de se faire entendre sur la question du mandat d'arrêt international émis par le Burkina Faso contre le président de la deuxième institution ivoirienne, Guillaume Soro.
‘’Suite au mandat d'arrêt international émis par le Burkina Faso à l'encontre du Président de l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire, le bureau de l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire tient une réunion extraordinaire ce Mercredi 20 janvier 2016, à 9H30, à la rotonde de l'Assemblée nationale’’, indique en substance le mail transmis par le service de communication du Parlement ce mardi 19 janvier 2016.
Notons que la Présidence de la République de Côte d’Ivoire, dans un communiqué, a dénoncé lundi ‘’le mépris des us et coutumes en la matière’’ à propos du mandat émis par le Burkina Faso et a réaffirmé par la même occasion, ‘’sa ferme volonté de régler cette question par la voie diplomatique dans le respect des accords qui nous lient afin d’éviter tout différend entre nos deux Etats’’.
Pour mémoire, le Burkina Faso a lancé un mandat d’arrêt international le 8 janvier 2015 et saisi Interpol contre Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne et ancien chef de la rébellion. Il est accusé par la justice burkinabè d’avoir soutenu le putsch raté du général Gilbert Diendéré le 17 septembre 2015.
Danielle Tagro
‘’Suite au mandat d'arrêt international émis par le Burkina Faso à l'encontre du Président de l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire, le bureau de l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire tient une réunion extraordinaire ce Mercredi 20 janvier 2016, à 9H30, à la rotonde de l'Assemblée nationale’’, indique en substance le mail transmis par le service de communication du Parlement ce mardi 19 janvier 2016.
Notons que la Présidence de la République de Côte d’Ivoire, dans un communiqué, a dénoncé lundi ‘’le mépris des us et coutumes en la matière’’ à propos du mandat émis par le Burkina Faso et a réaffirmé par la même occasion, ‘’sa ferme volonté de régler cette question par la voie diplomatique dans le respect des accords qui nous lient afin d’éviter tout différend entre nos deux Etats’’.
Pour mémoire, le Burkina Faso a lancé un mandat d’arrêt international le 8 janvier 2015 et saisi Interpol contre Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne et ancien chef de la rébellion. Il est accusé par la justice burkinabè d’avoir soutenu le putsch raté du général Gilbert Diendéré le 17 septembre 2015.
Danielle Tagro