La Case des Arts est un centre de formation aux arts traditionnels ouverte depuis février 2008. Elle est bâtie au cœur de la cité Cocody de la commune éponyme par Denise Kacou, une passionnée d’art, enseignante à l’Institut national des arts et de l’action culturelle (Insaac).
«On y essaie de valoriser le patrimoine culturel national en donnant des enseignements dans le domaine de la danse traditionnelle, de musique traditionnelle (instrument), de conte et légende et d’arts plastiques autour des richesses culturelles du pays», indique la directrice-fondatrice de La Case des Arts.
Depuis la création du centre, pour leur formation de base ou le renforcement de leurs capacités assurés par des musiciens, chorégraphes, des mannequins…et plasticiens chevronnés, de nombreuses personnes ont déjà franchi ses portes. Parmi elles, figurent ces derniers temps, Miss Côte d’Ivoire 2015, Andréa N’Guessan Kacou. Au nom du partenariat entre le Comité Miss-Côte d’Ivoire et La Case des Arts, la reine de la beauté ivoirienne y a reçu des cours de danse bété, baoulé, sénoufo, de percussion (djembé, balafon) sur une période de 2 mois afin qu’elle puisse affirmer pleinement son identité culturelle ivoirienne. C’était avant son voyage en Chine où elle a pris part à l’élection Miss Monde 2015. Une compétition à l’issue de laquelle Miss Andréa a terminé 17ème sur 120 candidates issues des quatre coins de la planète. «C’est tout à fait honorable. Je pense que le public ivoirien aura un jour l’occasion de voir Miss Andrea N’Guessan à l’oeuvre», se félicite Denise Kacou.
Selon cette spécialiste du théâtre, le prochain événement à La Case des arts, est prévu le 19 janvier. «Nous rendrons hommage à la couturière Rosa Louise McCauley Parks dite Rosa Parks (1913-2005), figure emblématique de la lutte contre la ségrégation raciale aux Etats-Unis d’Amérique, qui a été la première femme noire à revendiquer, pacifiquement, le droit de s’asseoir dans le bus à un endroit strictement réservée aux Blancs », confie-t-elle. Lorsque Rasa Parks ou la «mère du mouvement des droits civiques décédée à 92 ans défiait ainsi le pouvoir ségrégationniste blanc, ajoute-t-elle, le pasteur Martin Luther King n’avait que 25 ans».
«Le 29 janvier, nous allons donc magnifier l’œuvre de cette femme noire qui a ouvert la lutte antiségrégationniste, en chanson, en musique et en théâtre», affiche Denise Kacou, la fondatrice de La Case des Arts qui fait son petit bonhomme de chemin, espérant un jour gratter le ciel.
Schadé ADEDE
«On y essaie de valoriser le patrimoine culturel national en donnant des enseignements dans le domaine de la danse traditionnelle, de musique traditionnelle (instrument), de conte et légende et d’arts plastiques autour des richesses culturelles du pays», indique la directrice-fondatrice de La Case des Arts.
Depuis la création du centre, pour leur formation de base ou le renforcement de leurs capacités assurés par des musiciens, chorégraphes, des mannequins…et plasticiens chevronnés, de nombreuses personnes ont déjà franchi ses portes. Parmi elles, figurent ces derniers temps, Miss Côte d’Ivoire 2015, Andréa N’Guessan Kacou. Au nom du partenariat entre le Comité Miss-Côte d’Ivoire et La Case des Arts, la reine de la beauté ivoirienne y a reçu des cours de danse bété, baoulé, sénoufo, de percussion (djembé, balafon) sur une période de 2 mois afin qu’elle puisse affirmer pleinement son identité culturelle ivoirienne. C’était avant son voyage en Chine où elle a pris part à l’élection Miss Monde 2015. Une compétition à l’issue de laquelle Miss Andréa a terminé 17ème sur 120 candidates issues des quatre coins de la planète. «C’est tout à fait honorable. Je pense que le public ivoirien aura un jour l’occasion de voir Miss Andrea N’Guessan à l’oeuvre», se félicite Denise Kacou.
Selon cette spécialiste du théâtre, le prochain événement à La Case des arts, est prévu le 19 janvier. «Nous rendrons hommage à la couturière Rosa Louise McCauley Parks dite Rosa Parks (1913-2005), figure emblématique de la lutte contre la ségrégation raciale aux Etats-Unis d’Amérique, qui a été la première femme noire à revendiquer, pacifiquement, le droit de s’asseoir dans le bus à un endroit strictement réservée aux Blancs », confie-t-elle. Lorsque Rasa Parks ou la «mère du mouvement des droits civiques décédée à 92 ans défiait ainsi le pouvoir ségrégationniste blanc, ajoute-t-elle, le pasteur Martin Luther King n’avait que 25 ans».
«Le 29 janvier, nous allons donc magnifier l’œuvre de cette femme noire qui a ouvert la lutte antiségrégationniste, en chanson, en musique et en théâtre», affiche Denise Kacou, la fondatrice de La Case des Arts qui fait son petit bonhomme de chemin, espérant un jour gratter le ciel.
Schadé ADEDE