Abidjan – Un immense Manu Dibango a hypnotisé, samedi, de son saxophone enchanté un public conquis lors d’une parfaite et exceptionnelle soirée dédiée au lancement de la 9ème édition du Marché des arts du spectacle africain (MASA 2016) prévu du 5 au 12 mars sur le thème « Réinventions sera les arts de la scène ».
De 22H26 à 00H30, les sonorités du saxophone doré du plus illustre saxophoniste africain (avec Fela Anikulapo Kuti), tantôt langoureuses, tantôt languissantes, toujours chantantes et dansantes dans des ballades solitaires ou en symbiose avec son orchestre ont revisité son répertoire, rendu hommage au Nigérian Fela ou à l’Ivoirien François Lougah. S’arrachant les applaudissements nourris à chaque envolée, « le maître », selon le directeur du MASA, Pr Yacouba Konate, a salué « le MASA new look ».
Mais avant le « doyen Dibango », l’Ivoirienne Josey, égérie de la musique urbaine dans son pays, invitait les hommes à abréger l’étude des femmes avant de les épouser, tandis que le Malien Basselou Kouyaté, ses neveux, son fils et son épouse enthousiasmaient le public avec cet orchestre qui a produit 180 spectacles en 2015.
Le choix de ce triptyque tient, selon le directeur du MASA, à la volonté de réunir les trois générations sur un même plateau. Cette édition bénéficie de l’encadrement d’une entreprise, Océanie, pour en maximiser les retombées.
(AIP)
aaa/cmas
De 22H26 à 00H30, les sonorités du saxophone doré du plus illustre saxophoniste africain (avec Fela Anikulapo Kuti), tantôt langoureuses, tantôt languissantes, toujours chantantes et dansantes dans des ballades solitaires ou en symbiose avec son orchestre ont revisité son répertoire, rendu hommage au Nigérian Fela ou à l’Ivoirien François Lougah. S’arrachant les applaudissements nourris à chaque envolée, « le maître », selon le directeur du MASA, Pr Yacouba Konate, a salué « le MASA new look ».
Mais avant le « doyen Dibango », l’Ivoirienne Josey, égérie de la musique urbaine dans son pays, invitait les hommes à abréger l’étude des femmes avant de les épouser, tandis que le Malien Basselou Kouyaté, ses neveux, son fils et son épouse enthousiasmaient le public avec cet orchestre qui a produit 180 spectacles en 2015.
Le choix de ce triptyque tient, selon le directeur du MASA, à la volonté de réunir les trois générations sur un même plateau. Cette édition bénéficie de l’encadrement d’une entreprise, Océanie, pour en maximiser les retombées.
(AIP)
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