Les Chirurgiens annoncent leur retour dans le cercle de la musique Zouglou avec la mise sur le marché discographique d’un opus intitulé, « la main de Dieu ». Dans cet album de 5 titres, très dansant arrangé par Olivier Blé, Okobé Gnepo (Guizo), Kambiré (Tony), Vlei Bernard (Papa Yôkôyô) et Amessan Lakpa (Bonaté) croquent avec humour l’actualité dans des paroles très engagées.
Comment est né le groupe?
Tout a commencé en 2003 à Kidi Zimbabwe. C’est à Vridi, dans la commune de Port-Bouët au cours d’une ambiance Wôyô. Les précurseurs étaient Tony et Bonaté qui faisaient du Youssoumba. C’est bien plus tard que Papa Yôkôyô et Guizo ont rejoint le groupe.
Quels sont les thèmes que vous abordez dans vos chansons ?
Nous abordons beaucoup de thèmes. Ce sont entre autres, la politique, la pauvreté, les maux qui minent la société etc. Dans nos œuvres musicales, nous exhortons la jeunesse à la persévérance.
Pourquoi avez-vous décidé de vous appelez, les Chirurgiens ?
Nous voulions apporter une touche particulière à la musique ivoirienne. Particulièrement à la musique zouglou en y ajoutant des paroles fortes et des mélodies pures et naturelles de chez nous.
Vous voulez ressembler à qui donc ?
Personne. A nous mêmes. Nous chantons en français et les refrains sont en langue. Nos textes prennent en compte ce qui touche le quotidien des Ivoiriens, l’actualité du moment.
Vos ambitions et vos projets ?
Notre objectif est d’être au sommet du zouglou. Nous sommes déjà professionnels car nous avons un orchestre complet. Il y a également un album en attente dont la dédicace du single sera pour très bientôt. Nous sommes en tournage pour le clip qui accompagnera ce single. La promotion se fera aussi bien en Côte d’Ivoire qu’en dehors de nos frontières. En attendant, nous avons un maxi-single qui est disponible depuis le 15 décembre. C’est en prélude à l’album qui sera disponible dans le courant de cette année.
Le groupe existe depuis 2003. Quels sont les titres de gloire que vous avez glanés?
Nous avons obtenu plusieurs trophées, notamment vainqueurs de Podium en 2010. Nous avons été aussi lauréats au festival international de zouglou (FIZ) en 2010 et au festival international de percussion et de chants en 2011. Egalement meilleur groupe zouglou d’Abidjan. Vous comprenez que nous n’avons plus à prouver dans le milieu du zouglou.
Dago Diké
Comment est né le groupe?
Tout a commencé en 2003 à Kidi Zimbabwe. C’est à Vridi, dans la commune de Port-Bouët au cours d’une ambiance Wôyô. Les précurseurs étaient Tony et Bonaté qui faisaient du Youssoumba. C’est bien plus tard que Papa Yôkôyô et Guizo ont rejoint le groupe.
Quels sont les thèmes que vous abordez dans vos chansons ?
Nous abordons beaucoup de thèmes. Ce sont entre autres, la politique, la pauvreté, les maux qui minent la société etc. Dans nos œuvres musicales, nous exhortons la jeunesse à la persévérance.
Pourquoi avez-vous décidé de vous appelez, les Chirurgiens ?
Nous voulions apporter une touche particulière à la musique ivoirienne. Particulièrement à la musique zouglou en y ajoutant des paroles fortes et des mélodies pures et naturelles de chez nous.
Vous voulez ressembler à qui donc ?
Personne. A nous mêmes. Nous chantons en français et les refrains sont en langue. Nos textes prennent en compte ce qui touche le quotidien des Ivoiriens, l’actualité du moment.
Vos ambitions et vos projets ?
Notre objectif est d’être au sommet du zouglou. Nous sommes déjà professionnels car nous avons un orchestre complet. Il y a également un album en attente dont la dédicace du single sera pour très bientôt. Nous sommes en tournage pour le clip qui accompagnera ce single. La promotion se fera aussi bien en Côte d’Ivoire qu’en dehors de nos frontières. En attendant, nous avons un maxi-single qui est disponible depuis le 15 décembre. C’est en prélude à l’album qui sera disponible dans le courant de cette année.
Le groupe existe depuis 2003. Quels sont les titres de gloire que vous avez glanés?
Nous avons obtenu plusieurs trophées, notamment vainqueurs de Podium en 2010. Nous avons été aussi lauréats au festival international de zouglou (FIZ) en 2010 et au festival international de percussion et de chants en 2011. Egalement meilleur groupe zouglou d’Abidjan. Vous comprenez que nous n’avons plus à prouver dans le milieu du zouglou.
Dago Diké
