Abidjan, Le comité national de télédétection et d’information géographique (CNTIG) a fait l’acquisition de trois drones civils et projette la mise sur pied de Smart cities, autrement, des villes émergentes, a annoncé jeudi son directeur général, Dr Edouard Fonh-Gbéi qui dressait au siège de l’institution à Abidjan, son bilan 2015.
« Nous avons acquis trois drones civils qui sont des outils de levées qui supportent des caméras géo localisées et qui devraient permettre de pouvoir traverser des zones non pénétrables par des humains. Avec ces drones on est capable avec la haute résolution de pouvoir déterminer un peu les sommets des différentes parcelles à des centimètres près, ce qui est l’idéal et qui n’était pas possible il y a dix ans de cela », a indiqué Dr Edouard Fonh-Gbéi.
Selon lui, sa structure qui, aujourd’hui, a atteint sa vitesse de croisière, est capable de proposer des produits innovants allant dans la dynamique de l’émergence de la Côte d’Ivoire. « L’expertise existe au CNTIG et avec ça on a déjà démontré des expériences avec des coopératives. Les drones ont une capacité de vol de trois à quatre heures. Une fois vous le lancez, quand il revient après avoir parcouru la parcelle désirée, toutes les images sont là et peuvent être utilisées, cartographiées. On peut identifier les propriétaires et passer peut être à la phase d’indemnisation », a-t-il expliqué.
Au regard du bilan « élogieux », le directeur général du CNTIG a expliqué qu’en 2016, sa structure apportera des solutions innovantes aux thématiques telles que le foncier rural, les smart cities, la surveillance spatiale des terres, le tourisme. « Les villes intelligentes, c’est les services de gestion d’Etat civil, pour signaler par exemple que dans votre quartier il y a des ordures qui jonchent les rues. Vous avez votre Ipad, vous signalez et ceux qui sont en charge de la gestion des ordures seront informés. Il y a des services pour accéder facilement à internet », a expliqué M. Fonh-Gbéi.
A l’instar des trois dernières années, 2015 a été marquée par la réalisation d’importants projets de développement dont le projet e-communes, e-région, le SIG carte scolaire, le SIG carte universitaire et le Groupe de travail sur les réseaux enterrés (GTER).
(AIP)
gak/akn/ask
« Nous avons acquis trois drones civils qui sont des outils de levées qui supportent des caméras géo localisées et qui devraient permettre de pouvoir traverser des zones non pénétrables par des humains. Avec ces drones on est capable avec la haute résolution de pouvoir déterminer un peu les sommets des différentes parcelles à des centimètres près, ce qui est l’idéal et qui n’était pas possible il y a dix ans de cela », a indiqué Dr Edouard Fonh-Gbéi.
Selon lui, sa structure qui, aujourd’hui, a atteint sa vitesse de croisière, est capable de proposer des produits innovants allant dans la dynamique de l’émergence de la Côte d’Ivoire. « L’expertise existe au CNTIG et avec ça on a déjà démontré des expériences avec des coopératives. Les drones ont une capacité de vol de trois à quatre heures. Une fois vous le lancez, quand il revient après avoir parcouru la parcelle désirée, toutes les images sont là et peuvent être utilisées, cartographiées. On peut identifier les propriétaires et passer peut être à la phase d’indemnisation », a-t-il expliqué.
Au regard du bilan « élogieux », le directeur général du CNTIG a expliqué qu’en 2016, sa structure apportera des solutions innovantes aux thématiques telles que le foncier rural, les smart cities, la surveillance spatiale des terres, le tourisme. « Les villes intelligentes, c’est les services de gestion d’Etat civil, pour signaler par exemple que dans votre quartier il y a des ordures qui jonchent les rues. Vous avez votre Ipad, vous signalez et ceux qui sont en charge de la gestion des ordures seront informés. Il y a des services pour accéder facilement à internet », a expliqué M. Fonh-Gbéi.
A l’instar des trois dernières années, 2015 a été marquée par la réalisation d’importants projets de développement dont le projet e-communes, e-région, le SIG carte scolaire, le SIG carte universitaire et le Groupe de travail sur les réseaux enterrés (GTER).
(AIP)
gak/akn/ask