Le Président de la République, SEM Alassane OUATTARA, a échangé ce Mardi 16 Février 2016, au Palais de la Présidence de la République, avec le Directeur Exécutif de l’ONUSIDA, M. Michel SIDIBE.
Au terme de la rencontre, le Directeur Exécutif de l’ONUSIDA a indiqué que l’entretien avec le Chef de l’Etat, un homme de ‘’justice sociale’’, a porté essentiellement sur une ‘’croissance inclusive’’ et sur comment faire afin que les jeunes soient une ‘’préoccupation’’ pour tous.
En effet, selon M. Michel SIDIBE, les ‘’transformations futures’’ dépendront des jeunes ; surtout que 70% de la population ont moins de 30 ans. Ce qui pose, à leur
avis (le Président Alassane OUATTARA et lui) le problème de leur ‘’protection’’, notamment contre le VIH – SIDA.
C’est pourquoi, le combat mené aujourd’hui par le Chef de l’Etat, la Première Dame, Mme Dominique OUATTARA, le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique et l’ensemble du Gouvernement, est de faire en sorte que la Côte d’Ivoire soit l’un des permiers pays dans la sous- région ouest africaine à avoir une ‘’génération sans SIDA’’.
A cet égard, le Patron de l’ONUSIDA a fait remarquer qu’à l’avènement du Président Alassane OUATTARA au pouvoir d’Etat en 2011, il y avait ‘’à peine 40% de femmes enceintes qui étaient protégées’’. Mais aujourd’hui, l’on en compte ‘’80%’’. Ce qui veut dire, selon lui, que l’on peut aller à ‘’l’élimination de la transmission du VIHSIDA de la mère à l’enfant’’.
M. Michel SIBIDE a, par ailleurs, ajouté qu’à l’heure actuelle, l’on enregistre à peu près 50% de personnes sous traitement. A ce niveau, il a souligné la décision du
Président de la République ‘’d’aller plus vite’’ sur la question, c’est-à dire, faire en sorte que les autres 50% qui ne sont pas encore sous traitement puissent y avoir
accès. Tout comme il souhaiterait que la ‘’pérennisation des actions soit une réalité’’, c’est-à-dire en évitant d’être de plus en plus ‘’dépendant’’ des aides (en terme de ressources) extérieures; en permettant notamment à l’Afrique de ‘’produire son médicament’’.
Evoquant la cérémonie de lancement du Prix Dominique OUATTARA pour la lutte contre la transmission du VIH – SIDA de la mère à l’enfant, le Directeur Exécutif de l’ONUSIDA a salué l’engagement constant et déterminé de la Première Dame (qui est du reste, depuis un an et demi, ‘’Ambassadeur Spécial’’ de l’ONUSIDA pour cette cause- la lutte contre la transmission mère- enfant) mais également pour son combat visant à faire en sorte que le traitement pour les enfants, soit une ‘’réalité’’.
C’est pourquoi, de l’avis de M. Michel SIDIBE, ce Prix qui est une ‘’très bonne initiave, une première en Afrique’’, est une occasion de créer une ‘’motivation supllémentaire’’ et une ‘’saine compétition’’ entre les structures sanitaires.
Notons que le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Mme Raymonde GOUDOU- COFFIE, l’Assistant Spécial- Conseiller Spécial du Président de la
République, M. Fidèle SARRASSORO et la Directrice de la Communication du Chef de l’Etat, Mme Masséré TOURE, ont assisté à cet entretien.
Au terme de la rencontre, le Directeur Exécutif de l’ONUSIDA a indiqué que l’entretien avec le Chef de l’Etat, un homme de ‘’justice sociale’’, a porté essentiellement sur une ‘’croissance inclusive’’ et sur comment faire afin que les jeunes soient une ‘’préoccupation’’ pour tous.
En effet, selon M. Michel SIDIBE, les ‘’transformations futures’’ dépendront des jeunes ; surtout que 70% de la population ont moins de 30 ans. Ce qui pose, à leur
avis (le Président Alassane OUATTARA et lui) le problème de leur ‘’protection’’, notamment contre le VIH – SIDA.
C’est pourquoi, le combat mené aujourd’hui par le Chef de l’Etat, la Première Dame, Mme Dominique OUATTARA, le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique et l’ensemble du Gouvernement, est de faire en sorte que la Côte d’Ivoire soit l’un des permiers pays dans la sous- région ouest africaine à avoir une ‘’génération sans SIDA’’.
A cet égard, le Patron de l’ONUSIDA a fait remarquer qu’à l’avènement du Président Alassane OUATTARA au pouvoir d’Etat en 2011, il y avait ‘’à peine 40% de femmes enceintes qui étaient protégées’’. Mais aujourd’hui, l’on en compte ‘’80%’’. Ce qui veut dire, selon lui, que l’on peut aller à ‘’l’élimination de la transmission du VIHSIDA de la mère à l’enfant’’.
M. Michel SIBIDE a, par ailleurs, ajouté qu’à l’heure actuelle, l’on enregistre à peu près 50% de personnes sous traitement. A ce niveau, il a souligné la décision du
Président de la République ‘’d’aller plus vite’’ sur la question, c’est-à dire, faire en sorte que les autres 50% qui ne sont pas encore sous traitement puissent y avoir
accès. Tout comme il souhaiterait que la ‘’pérennisation des actions soit une réalité’’, c’est-à-dire en évitant d’être de plus en plus ‘’dépendant’’ des aides (en terme de ressources) extérieures; en permettant notamment à l’Afrique de ‘’produire son médicament’’.
Evoquant la cérémonie de lancement du Prix Dominique OUATTARA pour la lutte contre la transmission du VIH – SIDA de la mère à l’enfant, le Directeur Exécutif de l’ONUSIDA a salué l’engagement constant et déterminé de la Première Dame (qui est du reste, depuis un an et demi, ‘’Ambassadeur Spécial’’ de l’ONUSIDA pour cette cause- la lutte contre la transmission mère- enfant) mais également pour son combat visant à faire en sorte que le traitement pour les enfants, soit une ‘’réalité’’.
C’est pourquoi, de l’avis de M. Michel SIDIBE, ce Prix qui est une ‘’très bonne initiave, une première en Afrique’’, est une occasion de créer une ‘’motivation supllémentaire’’ et une ‘’saine compétition’’ entre les structures sanitaires.
Notons que le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Mme Raymonde GOUDOU- COFFIE, l’Assistant Spécial- Conseiller Spécial du Président de la
République, M. Fidèle SARRASSORO et la Directrice de la Communication du Chef de l’Etat, Mme Masséré TOURE, ont assisté à cet entretien.