Abidjan, 16 fév (AIP)- Le président de la République, Alassane Ouattara émet le vœu que le continent africain développe son remède contre le VIH/Sida, a révélé, mardi, à Abidjan, le directeur exécutif de l’ONUSIDA, Michel Sidibé, au sortir d’une audience que lui a accordée le chef de l’exécutif ivoirien.
M. Ouattara "voudrait que l’Afrique produise son médicament", a fait savoir M. Sidibé, indiquant avoir également échangé avec le président ivoirien autour de la nécessité pour les Etats africains de pérenniser les acquis en matière de lutte contre la pandémie et qui pour lui passe par la réduction de la dépendance vis-à-vis de l’aide extérieur.
"Il voudrait aussi qu’on n’ait pas une crise de dépendance parce que tout simplement la plupart des ressources que nous avons aujourd’hui proviennent du fonds mondial et du PEPFAR", a signifié le directeur exécutif de l’ONUSIDA.
Selon celui-ci le chef de l’Etat ivoirien pour ce qui concerne spécifiquement son pays a réitéré sa volonté d’aller plus vite afin de permettre à l’ensemble des malades du Sida d’avoir accès à un traitement contre 50% aujourd’hui. Pour ce qui est de la transmission mère/enfant Michel Sidibé a dit avoir partagé avec son hôte l’espoir qu’ "on peut aller vers l’élimination" afin de faire de la Côte d’Ivoire un des premiers pays de la sous région avoir une génération sans sida.
Selon l'ONUSIDA, de l’ordre de moins de 40% en 2011, le taux de femmes enceintes séropositives ayant accès un traitement pour éviter de contaminer leur enfant à naître est passé aujourd’hui à 80%.
kg/tm
M. Ouattara "voudrait que l’Afrique produise son médicament", a fait savoir M. Sidibé, indiquant avoir également échangé avec le président ivoirien autour de la nécessité pour les Etats africains de pérenniser les acquis en matière de lutte contre la pandémie et qui pour lui passe par la réduction de la dépendance vis-à-vis de l’aide extérieur.
"Il voudrait aussi qu’on n’ait pas une crise de dépendance parce que tout simplement la plupart des ressources que nous avons aujourd’hui proviennent du fonds mondial et du PEPFAR", a signifié le directeur exécutif de l’ONUSIDA.
Selon celui-ci le chef de l’Etat ivoirien pour ce qui concerne spécifiquement son pays a réitéré sa volonté d’aller plus vite afin de permettre à l’ensemble des malades du Sida d’avoir accès à un traitement contre 50% aujourd’hui. Pour ce qui est de la transmission mère/enfant Michel Sidibé a dit avoir partagé avec son hôte l’espoir qu’ "on peut aller vers l’élimination" afin de faire de la Côte d’Ivoire un des premiers pays de la sous région avoir une génération sans sida.
Selon l'ONUSIDA, de l’ordre de moins de 40% en 2011, le taux de femmes enceintes séropositives ayant accès un traitement pour éviter de contaminer leur enfant à naître est passé aujourd’hui à 80%.
kg/tm