Des délégués de 13 pays d’Afrique dont la Côte d’Ivoire participent à un atelier régional de trois jours depuis mercredi, à Abidjan, à l’initiative de l’Organisation internationale des bois tropicaux (OIBT) pour le développement du commerce des bois tropicaux et produits dérivés ainsi que de leur valorisation industrielle dans un cadre intra-africain.
Il sera question pour les organisateurs de diffuser les résultats obtenus, durant cette phase I/Etape1 du projet et de collecter les retours d’expérience, les avis et commentaires de chaque pays participant, en vue de consolider la mise en œuvre d’actions futures, lors des prochaines étapes de sa mise en œuvre.
L’objectif à court terme, est la possibilité pour les Etats africains membres de l’OIBT de créer un marché à l’échelle continentale de commercialisation des bois tropicaux et de ses produits dérivés par le développement des entreprises, la formation des entrepreneurs africains et l’attraction des investisseurs sur ce marché intra africain.
A l’ouverture de l’atelier, tout en exhortant les participants à des analyses approfondies pour des recommandations pertinentes à la hauteur des enjeux et des défis à relever par l’organisation, le ministre des Eaux et forêts, Louis-André Dacoury-Tabley les rassurés sur l’engagement de la Côte d’Ivoire à œuvrer pour le développement ainsi que le renforcement des relations entre les pays d’Afrique en matière de coopération forestière.
L’atelier régional qui prendra fin vendredi, s’inscrit dans l’application des résolutions de la cinquième conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD V), devant déboucher sur un projet incorporé dans le plan d’action de Yokohama (Japon) pour 2013-2017. Ce projet relatif au développement du commerce des bois tropicaux et produits dérivés bénéficie d’un financement du gouvernement japonais à hauteur d’environ 700 millions, note-t-on.
fmo/kam
Il sera question pour les organisateurs de diffuser les résultats obtenus, durant cette phase I/Etape1 du projet et de collecter les retours d’expérience, les avis et commentaires de chaque pays participant, en vue de consolider la mise en œuvre d’actions futures, lors des prochaines étapes de sa mise en œuvre.
L’objectif à court terme, est la possibilité pour les Etats africains membres de l’OIBT de créer un marché à l’échelle continentale de commercialisation des bois tropicaux et de ses produits dérivés par le développement des entreprises, la formation des entrepreneurs africains et l’attraction des investisseurs sur ce marché intra africain.
A l’ouverture de l’atelier, tout en exhortant les participants à des analyses approfondies pour des recommandations pertinentes à la hauteur des enjeux et des défis à relever par l’organisation, le ministre des Eaux et forêts, Louis-André Dacoury-Tabley les rassurés sur l’engagement de la Côte d’Ivoire à œuvrer pour le développement ainsi que le renforcement des relations entre les pays d’Afrique en matière de coopération forestière.
L’atelier régional qui prendra fin vendredi, s’inscrit dans l’application des résolutions de la cinquième conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD V), devant déboucher sur un projet incorporé dans le plan d’action de Yokohama (Japon) pour 2013-2017. Ce projet relatif au développement du commerce des bois tropicaux et produits dérivés bénéficie d’un financement du gouvernement japonais à hauteur d’environ 700 millions, note-t-on.
fmo/kam