Casablanca (Maroc) - Le port du casque de protection pour les usagers à moto ou de la ceinture de sécurité, pour les usagers en voiture, est sortie du carcan de l’obligation pour devenir un devoir pour le Marocain, a mercredi constaté l’AIP à Casablanca dans le cadre du Forum Afrique développement qui s’ouvre jeudi.
Selon un agent de sécurité dans un hôtel de la place, Said Ben Hachour, au-delà de la contravention susceptible d’être infligée à tout contrevenant, « c’est désormais un réflexe pour le marocain de se protéger avec un casque quand il est à moto ou d’attacher immédiatement sa ceinture de sécurité quand il est en véhicule, c’est maintenant un devoir ».
Pour cet autre usager d’engin à deux roues, Mostapha El Khalil, la forte contravention, allant à la mise en fourrière de l’engin du contrevenant a contribué, selon lui, à intégrer cette disposition dans les mœurs des Marocains. « La contravention est chère, il faut payer 300 dirhams pour un motocycliste sans casque et plus de 400 pour les voitures, sinon c’est le commissariat central », a-t-il laissé entendre.
(AIP)
gak/ask
Selon un agent de sécurité dans un hôtel de la place, Said Ben Hachour, au-delà de la contravention susceptible d’être infligée à tout contrevenant, « c’est désormais un réflexe pour le marocain de se protéger avec un casque quand il est à moto ou d’attacher immédiatement sa ceinture de sécurité quand il est en véhicule, c’est maintenant un devoir ».
Pour cet autre usager d’engin à deux roues, Mostapha El Khalil, la forte contravention, allant à la mise en fourrière de l’engin du contrevenant a contribué, selon lui, à intégrer cette disposition dans les mœurs des Marocains. « La contravention est chère, il faut payer 300 dirhams pour un motocycliste sans casque et plus de 400 pour les voitures, sinon c’est le commissariat central », a-t-il laissé entendre.
(AIP)
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