La ministre française de l’Environnement, Ségolène Royal, s’est engagée vendredi à faire respecter les engagements pris à l’égard des pays africains concernant l’accès de leur continent aux « énergies renouvelables", à la Conférence sur le Climat à Paris (COP 21) en 2015, lors d’une visite de travail à Abidjan.
L’"une de mes priorités en tant que présidente de la COP 21 est de faire en sorte que les engagements qui ont été pris à l’égard du continent africain soient tenus en particulier le grand projet que les chefs d’Etat ont décidé, celui de l’accès de l’Afrique aux énergies renouvelables", a indiqué Mme Royal.
Ce projet est un "élément clé pour la vie quotidienne de tous les citoyens mais aussi pour le développement économique, l’emploi et la transition énergétique qui permettra de réduire le réchauffement climatique dont l’Afrique souffre sans en être responsable", a-t-elle poursuivi.
Lors de la Conférence qui s’est déroulée du 30 novembre au 11 décembre 2015, les pays participants se sont engagés à formuler des projets à faible émission de gaz à effet de serre sur le long terme.
Cet engagement visant à limiter le réchauffement climatique devrait faire l’objet d’une signature le 22 avril 2016 à New York, pour que les Etats puissent "tirer les premiers bilans de l’identification des grands projets", a rappelé la ministre française de l’Environnement.
La Côte d’Ivoire s’est déjà engagée à réduire ses émissions cumulées de gaz à effet de serre à hauteur de 28% sans financement extérieur et à 36% en cas d’aide d’ici 2030.
EFI
L’"une de mes priorités en tant que présidente de la COP 21 est de faire en sorte que les engagements qui ont été pris à l’égard du continent africain soient tenus en particulier le grand projet que les chefs d’Etat ont décidé, celui de l’accès de l’Afrique aux énergies renouvelables", a indiqué Mme Royal.
Ce projet est un "élément clé pour la vie quotidienne de tous les citoyens mais aussi pour le développement économique, l’emploi et la transition énergétique qui permettra de réduire le réchauffement climatique dont l’Afrique souffre sans en être responsable", a-t-elle poursuivi.
Lors de la Conférence qui s’est déroulée du 30 novembre au 11 décembre 2015, les pays participants se sont engagés à formuler des projets à faible émission de gaz à effet de serre sur le long terme.
Cet engagement visant à limiter le réchauffement climatique devrait faire l’objet d’une signature le 22 avril 2016 à New York, pour que les Etats puissent "tirer les premiers bilans de l’identification des grands projets", a rappelé la ministre française de l’Environnement.
La Côte d’Ivoire s’est déjà engagée à réduire ses émissions cumulées de gaz à effet de serre à hauteur de 28% sans financement extérieur et à 36% en cas d’aide d’ici 2030.
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