Bouaflé (Côte d’Ivoire) - Le stade régional de Bouaflé (294 km au Centre-ouest) a abrité, samedi, le premier festival des Arts et cultures Gouro à l’initiative de l'ex-ministre Léopoldine Tiézan Coffie, présidente nationale de KAADÔ (nous sommes UN), l’association regroupant les cadres, filles et fils des sept départements formant le peuple Gouro de Côte d’Ivoire.
La culture Gouro, dans sa diversité, a été mise en exergue par plusieurs danses de ce terroir au cours de ce festival présidé par l'ex-ministre d'Etat, Charles Koffi Diby, par ailleurs, président du Conseil régional de la Marahoué, en présence des autorités administratives et politiques de la région.
Selon le Président du comité d'organisation, Gooré Bi Hué, KAADÔ est née, en novembre 2012, de la volonté des cadres des 7 départements (Bouaflé, Daloa, Kounahiri, Sinfra, Oumé, Vavoua et Zuénoula), ‘'soucieux du rayonnement, culturel et économique'' des dits départements.
‘'KAADÔ vise à rassembler les cadres, travailleurs et ressortissants des sept localités désireux d'apporter leur contribution à la promotion et à la valorisation de la riche culture du terroir, la promotion des activités économiques dans ces départements et l'émergence d'esprit d'entraide et de solidarité'', a poursuivi M. Gooré Bi.
Pour la présidente nationale, l'ex- ministre Léopoldine Tiézan Coffie, KAADÔ qui célèbre la culture Gouro à travers ‘'l'exposition des œuvres de l'esprit de nos parents et les différentes danses'', se veut ‘'un instrument de paix et de cohésion sociale''.
‘'KAADÔ veut mettre l'amour où il y a la haine, veut le pardon où on offense, cherche plutôt à rassembler qu'à diviser'' pour ‘'une réconciliation autour du ministre d'Etat, Charles Diby dans ‘'l'union et l'entente'', a-t-elle engagé l'association devant les têtes couronnées des sept départements.
Parrain et président de cette première édition de FESTIKAADÔ, l'ex-ministre d'Etat Charles Koffi Diby, président du Conseil régional de la Marahoué (les 7 départements moins Daloa et Oumé) a salué l'avènement de ce festival qui ‘'mérite d'être pérennisé''.
‘'Pour cela, nous devons être UN, pour être forts et asseoir le vivre ensemble voulu et prôné par le président de la République. Regardons-nous à travers nos qualités et non nos défauts. Tuez en vous tout ce qui peut nous éloigner car plus unis plus nous serons forts pour conduire notre région à l'émergence'', a conseillé M. Diby promettant outre l'institutionnalisation du festival, ‘'la création du Carnaval de la Marahoué''.
La prestation des masques de la région dont le Zahouli de Gbéhita, le Zamblé de Gohitafla, le Saaplô, le Zaahouli, le Goly de Konahiri et la visite des stands des variétés de vivres (riz, ignames, bananes…) et autres produits culinaires des départements ainsi que les pierres taillées ont constitué le clou de ce festival.
Le peuple Gouro, principalement, établi au Centre-ouest de la Côte d'Ivoire, sur les rives du fleuve Bandama, est connu pour ses masques, très colorés. Il entretient ,depuis longtemps, d' importants rituels dans lesquels les masques occupent une place de choix.
HS/ls/APA
La culture Gouro, dans sa diversité, a été mise en exergue par plusieurs danses de ce terroir au cours de ce festival présidé par l'ex-ministre d'Etat, Charles Koffi Diby, par ailleurs, président du Conseil régional de la Marahoué, en présence des autorités administratives et politiques de la région.
Selon le Président du comité d'organisation, Gooré Bi Hué, KAADÔ est née, en novembre 2012, de la volonté des cadres des 7 départements (Bouaflé, Daloa, Kounahiri, Sinfra, Oumé, Vavoua et Zuénoula), ‘'soucieux du rayonnement, culturel et économique'' des dits départements.
‘'KAADÔ vise à rassembler les cadres, travailleurs et ressortissants des sept localités désireux d'apporter leur contribution à la promotion et à la valorisation de la riche culture du terroir, la promotion des activités économiques dans ces départements et l'émergence d'esprit d'entraide et de solidarité'', a poursuivi M. Gooré Bi.
Pour la présidente nationale, l'ex- ministre Léopoldine Tiézan Coffie, KAADÔ qui célèbre la culture Gouro à travers ‘'l'exposition des œuvres de l'esprit de nos parents et les différentes danses'', se veut ‘'un instrument de paix et de cohésion sociale''.
‘'KAADÔ veut mettre l'amour où il y a la haine, veut le pardon où on offense, cherche plutôt à rassembler qu'à diviser'' pour ‘'une réconciliation autour du ministre d'Etat, Charles Diby dans ‘'l'union et l'entente'', a-t-elle engagé l'association devant les têtes couronnées des sept départements.
Parrain et président de cette première édition de FESTIKAADÔ, l'ex-ministre d'Etat Charles Koffi Diby, président du Conseil régional de la Marahoué (les 7 départements moins Daloa et Oumé) a salué l'avènement de ce festival qui ‘'mérite d'être pérennisé''.
‘'Pour cela, nous devons être UN, pour être forts et asseoir le vivre ensemble voulu et prôné par le président de la République. Regardons-nous à travers nos qualités et non nos défauts. Tuez en vous tout ce qui peut nous éloigner car plus unis plus nous serons forts pour conduire notre région à l'émergence'', a conseillé M. Diby promettant outre l'institutionnalisation du festival, ‘'la création du Carnaval de la Marahoué''.
La prestation des masques de la région dont le Zahouli de Gbéhita, le Zamblé de Gohitafla, le Saaplô, le Zaahouli, le Goly de Konahiri et la visite des stands des variétés de vivres (riz, ignames, bananes…) et autres produits culinaires des départements ainsi que les pierres taillées ont constitué le clou de ce festival.
Le peuple Gouro, principalement, établi au Centre-ouest de la Côte d'Ivoire, sur les rives du fleuve Bandama, est connu pour ses masques, très colorés. Il entretient ,depuis longtemps, d' importants rituels dans lesquels les masques occupent une place de choix.
HS/ls/APA
