À l’initiative de Léopoldine Tiézan Coffie, la présidente du Kaadô, la première édition de la promotion de l’art et de la culture gouro a eu lieu à Bouaflé.
Le premier festival des Arts et cultures gouro s’est tenu le 27 février 2016 au stade régional de la Marahoué dans le centre-ouest de la Côte d’Ivoire.
Cette cérémonie a tété l’occasion de mettre en exergue la culture gouro, dans sa diversité, à travers plusieurs danses de ce terroir. Mieux, elle va permettre aux ressortissants de la région de se rencontrer et d’œuvrer pour le développement.
Pour sa part, l'ex- ministre Léopoldine Tiézan Coffie, présidente nationale de ‘‘Kaadô’’, cette rencontre est la célébration de la culture gouro avec ‘'l'exposition des œuvres de l'esprit de nos parents et les différentes danses''. Mieux, c’est « un instrument de paix et de cohésion sociale ».
Charles Koffi Diby, président du Conseil régional de la Marahoué, par ailleurs Parrain et président de cette première édition du ‘‘Festikaadô’’ a salué l'avènement de ce festival. Il a en outre ajouté que cet événement ‘‘mérite d'être pérennisé''.
Le ‘‘festikaadô’’ qui réunit les cadres de Bouaflé, Daloa, Kounahiri, Sinfra, Oumé, Vavoua et Zuénoula, est une initiative des ressortissants desdits départements regroupés au sein du ‘‘Kaadô’’. Une association qui signifie nous sommes ‘‘Un’’ et qui regroupe tous les gouro ‘'soucieux du rayonnement, culturel et économique'' de leur région. Car « elle vise à rassembler les cadres, travailleurs et ressortissants des sept localités qui constituent le peuple gouro. Ce, pour apporter leur contribution à la promotion et à la valorisation de la culture du terroir. Egalement la promotion des activités économiques dans ces départements et l'instauration d'esprit d'entraide et de solidarité », a affirmé Gooré Bi Hué le Président du comité d'organisation.
Angeline DJERABE
Le premier festival des Arts et cultures gouro s’est tenu le 27 février 2016 au stade régional de la Marahoué dans le centre-ouest de la Côte d’Ivoire.
Cette cérémonie a tété l’occasion de mettre en exergue la culture gouro, dans sa diversité, à travers plusieurs danses de ce terroir. Mieux, elle va permettre aux ressortissants de la région de se rencontrer et d’œuvrer pour le développement.
Pour sa part, l'ex- ministre Léopoldine Tiézan Coffie, présidente nationale de ‘‘Kaadô’’, cette rencontre est la célébration de la culture gouro avec ‘'l'exposition des œuvres de l'esprit de nos parents et les différentes danses''. Mieux, c’est « un instrument de paix et de cohésion sociale ».
Charles Koffi Diby, président du Conseil régional de la Marahoué, par ailleurs Parrain et président de cette première édition du ‘‘Festikaadô’’ a salué l'avènement de ce festival. Il a en outre ajouté que cet événement ‘‘mérite d'être pérennisé''.
Le ‘‘festikaadô’’ qui réunit les cadres de Bouaflé, Daloa, Kounahiri, Sinfra, Oumé, Vavoua et Zuénoula, est une initiative des ressortissants desdits départements regroupés au sein du ‘‘Kaadô’’. Une association qui signifie nous sommes ‘‘Un’’ et qui regroupe tous les gouro ‘'soucieux du rayonnement, culturel et économique'' de leur région. Car « elle vise à rassembler les cadres, travailleurs et ressortissants des sept localités qui constituent le peuple gouro. Ce, pour apporter leur contribution à la promotion et à la valorisation de la culture du terroir. Egalement la promotion des activités économiques dans ces départements et l'instauration d'esprit d'entraide et de solidarité », a affirmé Gooré Bi Hué le Président du comité d'organisation.
Angeline DJERABE
