« Par les alliances, la réconciliation est possible», c’est le slogan du Festival des alliés(Feca) dont la seconde édition aura lieu les 28 et 29 mars 2016 à l’espace ‘Ficgayo’ de Yopougon. L’annonce a été faite lors de la cérémonie de présentation officielle qui a eu lieu récemment au plateau, à la tour E.
Cette année ce sont deux peuples de Nord et du grand-ouest de la Côte d’Ivoire qui sont à l’honneur. Il s’agit des Senoufo (Nord) et Yacouba (Ouest) qui montreront l’importance et le sens des alliances. Ce, en s’appuyant sur leurs différentes cultures. Notamment la gastronomie, l’accoutrement traditionnel, la pharmacopée, les chants et danses de leurs régions. Il est prévu également un tournoi de lutte entre les deux ethnies. Selon Amy Ouattara, présidente du comité d’organisation, ce festival peut œuvrer en faveur de la cohésion et de la paix sociale. «Le Feca est bienvenu pour contribuer à la décrispation de l’atmosphère sociale compte tenu de toutes les épreuves endurées par la Côte d’Ivoire», a-t-elle affirmé.
Pour sa part, Silué Boloba le président de l’Ong ‘Wafy’, initiateur du Feca, a donné les domaines de compétence de son organisation. Entre autres, la lutte contre les violences faites aux femmes, la production d’artistes traditionnels et leur prise en compte par le Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida). Car, selon lui, «la musique moderne est puisée dans le terroir».
Pour la seconde édition du Feca, plusieurs communes d’Abidjan et de l’intérieur du pays, ont confirmé pour l’instant leur participation. Notamment, de Man, Korhogo, Abobo, Yopougon, Sinematiali. Les organisateurs entendent renouveler l’exploit de l’année dernière avec la participation de plus de mille festivaliers.
Ce festival des Arts et cultures des peuples alliés a eu sa première édition en mars 2015, au centre culturel de Katiola.
Angeline DJERABE
Cette année ce sont deux peuples de Nord et du grand-ouest de la Côte d’Ivoire qui sont à l’honneur. Il s’agit des Senoufo (Nord) et Yacouba (Ouest) qui montreront l’importance et le sens des alliances. Ce, en s’appuyant sur leurs différentes cultures. Notamment la gastronomie, l’accoutrement traditionnel, la pharmacopée, les chants et danses de leurs régions. Il est prévu également un tournoi de lutte entre les deux ethnies. Selon Amy Ouattara, présidente du comité d’organisation, ce festival peut œuvrer en faveur de la cohésion et de la paix sociale. «Le Feca est bienvenu pour contribuer à la décrispation de l’atmosphère sociale compte tenu de toutes les épreuves endurées par la Côte d’Ivoire», a-t-elle affirmé.
Pour sa part, Silué Boloba le président de l’Ong ‘Wafy’, initiateur du Feca, a donné les domaines de compétence de son organisation. Entre autres, la lutte contre les violences faites aux femmes, la production d’artistes traditionnels et leur prise en compte par le Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida). Car, selon lui, «la musique moderne est puisée dans le terroir».
Pour la seconde édition du Feca, plusieurs communes d’Abidjan et de l’intérieur du pays, ont confirmé pour l’instant leur participation. Notamment, de Man, Korhogo, Abobo, Yopougon, Sinematiali. Les organisateurs entendent renouveler l’exploit de l’année dernière avec la participation de plus de mille festivaliers.
Ce festival des Arts et cultures des peuples alliés a eu sa première édition en mars 2015, au centre culturel de Katiola.
Angeline DJERABE
