Dans une file de plus 20 personnes, Essoun Kokou, la quarantaine, attend patiemment depuis l’aube son tour dans un poste de vote du quartier Djovè (Centre de Cotonou) pour élire le nouveau président béninois, souhaitant à l’instar de quelques électeurs un choix marquant "la rupture" afin d’amorcer le "changement" pour ''le développement'' du pays.
Le nouveau pouvoir devrait "balayer tout ce que le régime passé à semer", entre autres "la corruption, les concours frauduleux pour installer la discipline afin que le pays se développe", affirme Kokou, assis sur un banc à l’entrée de l’école primaire Aboubakar, un lieu de vote.
Pour la plupart des jeunes, dont le pourcentage à l’échelle nationale représente plus de 60% de la population béninoise, le... suite de l'article sur Alerte Info
Le nouveau pouvoir devrait "balayer tout ce que le régime passé à semer", entre autres "la corruption, les concours frauduleux pour installer la discipline afin que le pays se développe", affirme Kokou, assis sur un banc à l’entrée de l’école primaire Aboubakar, un lieu de vote.
Pour la plupart des jeunes, dont le pourcentage à l’échelle nationale représente plus de 60% de la population béninoise, le... suite de l'article sur Alerte Info