Rendu célèbre aux yeux du monde entier suite à ses larmes lors de l’Abidjanaise à la Coupe du monde 2014, Serey Dié a connu une route semée d’embuches pour devenir joueur professionnel, comme il l’a confié dans un entretien émouvant à L’Equipe. Morceaux choisis.
- Sa vie en Côte d’Ivoire
"Je vendais des trucs pour survivre, du pain, des cigarettes au feu rouge, je faisais « cabine téléphonique » (prêter des téléphones aux gens pour appeler). J’avais moins d’un euro par jour… Parfois, je passais deux jours sans manger. Le père ne vivait plus (il est mort en 2004 ), la mère n’avait qu’une petite pension donc je ne pouvais rien lui demander. Je devais me débrouiller seul. J’habitais même une chambre avec un toit inachevé… Quand il pleuvait, il... suite de l'article sur Afrik.com
- Sa vie en Côte d’Ivoire
"Je vendais des trucs pour survivre, du pain, des cigarettes au feu rouge, je faisais « cabine téléphonique » (prêter des téléphones aux gens pour appeler). J’avais moins d’un euro par jour… Parfois, je passais deux jours sans manger. Le père ne vivait plus (il est mort en 2004 ), la mère n’avait qu’une petite pension donc je ne pouvais rien lui demander. Je devais me débrouiller seul. J’habitais même une chambre avec un toit inachevé… Quand il pleuvait, il... suite de l'article sur Afrik.com