Le président français, François Hollande a dénoncé dimanche "le lâche attentat" perpétré sur des plages de Grand-Bassam (43 km au sud d’Abidjan) qui a occasionné la mort de 14 civils et deux soldats.
"Je dénonce avec force le lâche attentat de Grand-Bassam et témoigne aux victimes et à leur famille la solidarité de la France" a indiqué le président français sur son compte twitter.
"La France qui apporte son soutien logistique et de renseignement à la Côte d'Ivoire pour retrouver les agresseurs poursuivra et intensifiera sa coopération avec ses partenaires dans la lutte contre le terrorisme", souligne l’Elysée.
"Trois hôtels de la station balnéaire de Grand-Bassam ont été la cible dimanche après-midi d’attaques qui ont causé la morts de 14 civils" dont "quatre blancs" et deux 2 militaires et entrainé 22 blessés, selon le président ivoirien Alassane Ouattara.
Le gouvernement ivoirien évoque des victimes "française, allemande, burkinabè, malienne" et camerounaise indiquant que l’identification des assaillants est "en cours".
Six assaillants ont été tués selon les autorités ivoiriennes qui invitent les populations "à garder leur calme et dénoncer tout mouvement suspect".
ABL
"Je dénonce avec force le lâche attentat de Grand-Bassam et témoigne aux victimes et à leur famille la solidarité de la France" a indiqué le président français sur son compte twitter.
"La France qui apporte son soutien logistique et de renseignement à la Côte d'Ivoire pour retrouver les agresseurs poursuivra et intensifiera sa coopération avec ses partenaires dans la lutte contre le terrorisme", souligne l’Elysée.
"Trois hôtels de la station balnéaire de Grand-Bassam ont été la cible dimanche après-midi d’attaques qui ont causé la morts de 14 civils" dont "quatre blancs" et deux 2 militaires et entrainé 22 blessés, selon le président ivoirien Alassane Ouattara.
Le gouvernement ivoirien évoque des victimes "française, allemande, burkinabè, malienne" et camerounaise indiquant que l’identification des assaillants est "en cours".
Six assaillants ont été tués selon les autorités ivoiriennes qui invitent les populations "à garder leur calme et dénoncer tout mouvement suspect".
ABL