Les sanctions "en matière de terrorisme" selon la loi en Côte d’Ivoire prévoient "l’emprisonnement à vie", a indiqué lundi le procureur de la République de Côte d’Ivoire, Christophe Richard Adou, sur les antennes de la télévision nationale.
"Les sanctions sont très sévères en matière de terrorisme, c’est l’emprisonnement à vie", a rappelé Richard Adou, avant de relever que cet acte "ne peut qu’être instruit par le tribunal d’Abidjan".
Le parquet d’Abidjan, qui s’est autosaisi de ces crimes, va faire la lumière sur la lumière sur l’assaut perpétré dimanche par des présumés "djihadistes" notamment munis de "bombes lacrymogènes et des armes, a-t-il ajouté.
Il a assuré que les enquêtes étaient "toujours en cours" dans cette affaire, soulignant qu’"il y a des pites qui nous conduisent à certaines personnes qui (…) ont séjourné certainement à Grand Bassam" et à qui il a été "donné gîtes et couverts".
Pour réussir cette enquête jugée "trop sérieuse", le procureur de la République a lancé "un appel à témoins", afin que les personnes ayant assisté aux théâtres des opérations donnent d’avantage d’indices.
Les Ivoiriens devrait toutefois "rester vigilants sans entrer dans a délation", a-t-il prévenu.
Trois hôtels de la station balnéaire de Grand-Bassam ont été la cible dimanche après-midi d’attaques qui ont occasionné la morts de 15 civils, trois militaires puis "trois terroristes" et entrainé 33 blessés, selon les autorités ivoiriennes.
PAL
"Les sanctions sont très sévères en matière de terrorisme, c’est l’emprisonnement à vie", a rappelé Richard Adou, avant de relever que cet acte "ne peut qu’être instruit par le tribunal d’Abidjan".
Le parquet d’Abidjan, qui s’est autosaisi de ces crimes, va faire la lumière sur la lumière sur l’assaut perpétré dimanche par des présumés "djihadistes" notamment munis de "bombes lacrymogènes et des armes, a-t-il ajouté.
Il a assuré que les enquêtes étaient "toujours en cours" dans cette affaire, soulignant qu’"il y a des pites qui nous conduisent à certaines personnes qui (…) ont séjourné certainement à Grand Bassam" et à qui il a été "donné gîtes et couverts".
Pour réussir cette enquête jugée "trop sérieuse", le procureur de la République a lancé "un appel à témoins", afin que les personnes ayant assisté aux théâtres des opérations donnent d’avantage d’indices.
Les Ivoiriens devrait toutefois "rester vigilants sans entrer dans a délation", a-t-il prévenu.
Trois hôtels de la station balnéaire de Grand-Bassam ont été la cible dimanche après-midi d’attaques qui ont occasionné la morts de 15 civils, trois militaires puis "trois terroristes" et entrainé 33 blessés, selon les autorités ivoiriennes.
PAL