A l’instar du monde entier, la Côte d’Ivoire a célébré les onzième Journées Mondiales du Rein (JMR 2016), le jeudi 10 mars 2016.
Cette célébration de la 6e édition pour ce qui concerne la Côte d’Ivoire a permis aux professionnels des soins des maladies rénales d’attirer l’attention de la communauté et des pouvoirs publics sur l’insuffisance rénale enfantine.
Comme l’indique le thème « les maladies rénales de l’enfant-Agir tôt pour prévenir » il s’agira de leur détection précoce chez l’enfant.
Ainsi, plusieurs communications se sont succédées pour expliquer les principales causes des insuffisances rénales et les facteurs les favorisant chez l’enfant.
Le professeur Yao Hubert, président de la Société Ivoirienne de Néphrologie (SINEPH) a dans son adresse plaidé pour une reprise des consultations chez les enfants, une prise en charge adéquate pour les malades et une accessibilité des populations aux médicaments.
Le représentant du ministre de la santé Dr Niangué Joseph a souligné que le nombre croissant de malades du rein dans notre environnement a fait de cette maladie un problème de santé publique.
Ainsi, « Le gouvernement a fait de la lutte contre les maladies du rein une priorité en subventionnant la prise en charge qui est passée de 120.000 à 1500 Fcfa par séance de dialyse» a-t-il soutenu.
Cependant, ce n’est pas encore le cas pour les enfants malades ayant besoin de traitements de suppléance rénale par la dialyse péritonéale, car leurs parents debourssent encore 250 000 FCFA.
Sur le nombre de malades du rein en Afrique et précisément en Côte d’Ivoire, le Pr Adonis-Koffi Laurence, néphropédiatre, chef du service de pédiatrie du CHU de Yopougon et Directrice de l’Unité de Néphrologie Pédiatrique du même établissement, intervenant lors de la conférence inaugurale a indiqué que les chiffres de l’insuffisance du rein sont encore méconnus.
Mais, a-t-elle précisé, la Côte d’Ivoire présente plusieurs avances par rapport aux pays de la sous-région, notamment dans la transplantation.
Ainsi, elle a plaidé pour la mise en place d’une subvention des prises en charges chez les enfants, l’amélioration de la qualité de la dialyse péritonéale et l’initiation de la greffe rénale en 2016.
Notons que ces journées ont été marquées par l’inauguration de l’unité de néphrologie pédiatrique du centre hospitalier universitaire le vendredi 11 mars 2016 en présence du docteur joseph directeur de cabinet adjoint du ministère de la sante et de l hygiène publique. Selon les organisateurs, l’inauguration de ce centre pour enfant s’inscrit dans le cadre de la 6eme édition des journées ivoiriennes des maladie liées aux reins organisé du 8 mars
Les maladies rénales de l’enfant ; agir tôt pour les prévenir, est le thème choisi pour ses journées, afin d’inviter les autorités à assurer une prise en charge efficiente et totale des enfants souffrant de cette maladie a indiqué professeur adonis Laurence Koffi chef de cette unité.
Cette salle de dialyse pour enfant comporte deux lits de dialyse et 4 lits d hospitalisation.
DA
Cette célébration de la 6e édition pour ce qui concerne la Côte d’Ivoire a permis aux professionnels des soins des maladies rénales d’attirer l’attention de la communauté et des pouvoirs publics sur l’insuffisance rénale enfantine.
Comme l’indique le thème « les maladies rénales de l’enfant-Agir tôt pour prévenir » il s’agira de leur détection précoce chez l’enfant.
Ainsi, plusieurs communications se sont succédées pour expliquer les principales causes des insuffisances rénales et les facteurs les favorisant chez l’enfant.
Le professeur Yao Hubert, président de la Société Ivoirienne de Néphrologie (SINEPH) a dans son adresse plaidé pour une reprise des consultations chez les enfants, une prise en charge adéquate pour les malades et une accessibilité des populations aux médicaments.
Le représentant du ministre de la santé Dr Niangué Joseph a souligné que le nombre croissant de malades du rein dans notre environnement a fait de cette maladie un problème de santé publique.
Ainsi, « Le gouvernement a fait de la lutte contre les maladies du rein une priorité en subventionnant la prise en charge qui est passée de 120.000 à 1500 Fcfa par séance de dialyse» a-t-il soutenu.
Cependant, ce n’est pas encore le cas pour les enfants malades ayant besoin de traitements de suppléance rénale par la dialyse péritonéale, car leurs parents debourssent encore 250 000 FCFA.
Sur le nombre de malades du rein en Afrique et précisément en Côte d’Ivoire, le Pr Adonis-Koffi Laurence, néphropédiatre, chef du service de pédiatrie du CHU de Yopougon et Directrice de l’Unité de Néphrologie Pédiatrique du même établissement, intervenant lors de la conférence inaugurale a indiqué que les chiffres de l’insuffisance du rein sont encore méconnus.
Mais, a-t-elle précisé, la Côte d’Ivoire présente plusieurs avances par rapport aux pays de la sous-région, notamment dans la transplantation.
Ainsi, elle a plaidé pour la mise en place d’une subvention des prises en charges chez les enfants, l’amélioration de la qualité de la dialyse péritonéale et l’initiation de la greffe rénale en 2016.
Notons que ces journées ont été marquées par l’inauguration de l’unité de néphrologie pédiatrique du centre hospitalier universitaire le vendredi 11 mars 2016 en présence du docteur joseph directeur de cabinet adjoint du ministère de la sante et de l hygiène publique. Selon les organisateurs, l’inauguration de ce centre pour enfant s’inscrit dans le cadre de la 6eme édition des journées ivoiriennes des maladie liées aux reins organisé du 8 mars
Les maladies rénales de l’enfant ; agir tôt pour les prévenir, est le thème choisi pour ses journées, afin d’inviter les autorités à assurer une prise en charge efficiente et totale des enfants souffrant de cette maladie a indiqué professeur adonis Laurence Koffi chef de cette unité.
Cette salle de dialyse pour enfant comporte deux lits de dialyse et 4 lits d hospitalisation.
DA
