"Bassam est la vie, Bassam a la vie, Bassam est vivant". C’est ainsi que le gouverneur du district d’Abidjan, qui s’est rendu, mercredi 15 mars, dans la première capitale de la Côte d’Ivoire, accompagné par une forte délégation constituée de Maires d’Abidjan, de vice-gouverneurs, directeurs généraux, directeurs, conseillers, s’est adressé au conseil municipal de Bassam, aux peuples n’zima, abouré et à toutes les populations de cette cité balnéaire, pour leur apporter le réconfort, suite à la lâche agression opérée par les terroristes d’Aqmi, dimanche dernier.
A travers ces paroles, Beugré Mambé a voulu traduire, malgré la tragédie qui a coûté la vie à 18 personnes innocentes, la victoire de la vie sur la mort. Mais surtout dire aux terroristes qui ont semé la mort, qu’ils ne peuvent pas avoir raison de la détermination des peuples de Côte d’Ivoire à rester debout.
Aussi, face à la bêtise humaine du dimanche 12 mars dernier, le gouverneur Mambé s’est-il posé une série d’interrogations. " Pourquoi ? Pour quoi ? Que cherche-t-on ? Que vise-t-on ? Dans quel intérêt ? Pour qui ? Pour aller où ?" Mais il a surtout tenu à communiquer sa foi aux Bassamois ébranlés par cette terrible tragédie quant à la renaissance de leur ville. "Une chose nous rassure", a-t-il indiqué, "c’est que la mort ne peut pas tuer la vie, parce que la vie transcende la mort".
Poursuivant, le premier magistrat du district d’Abidjan a rappelé la place importante que la cité balnéaire située à un jet de pierre de la capitale économique de Côte d’Ivoire occupe dans le cœur des Ivoiriens. "Bassam est un symbole, une référence, un bijou. La mémoire de la Côte d’Ivoire se trouve à Bassam, elle ne va pas s’effacer. Bassam est éternel parce qu’à Bassam, il y a la vie."
Le gouverneur Mambé a aussi annoncé que dans cette terrible épreuve qui les frappe, les populations bassamoises ne sont pas seules. En témoigne le vaste élan de solidarité en leur faveur à travers le monde, singulièrement celui d’Anne Hidalgo, du maire de Paris, des maires de Bamako, de Libreville, de Montréal, de Libreville, de Nice et l’Association Internationale des Maires Francophones. Pour ainsi dire, "le combat n’est pas qu’ivoirien, il est universel", a souligné Mambé qui a clos son propos sur une note d’espoir : "Bassam vivra. Dieu est avec vous, ne craignez rien."
Peu avant, le gouverneur du district d’Abidjan a pris part, aux côtés du chef de l’Etat, à une brève cérémonie au cours de laquelle le président Ouattara a déposé une gerbe de fleurs, au premier endroit que les terroristes ont frappé : le réceptif hôtelier Etoile du Sud. Le numéro un ivoirien a réaffirmé, à l’occasion, que la Côte d’Ivoire restera debout et ne se laissera pas intimidée par les terroristes. Puis il est allé tenir un conseil des ministres au centre culturel Jean Baptiste Mockey.
Signalons que Beugré Mambé a offert au conseil municipal de Grand Bassam, dirigé par le maire Georges Philippe Ezalé, au roi des N’Zima et à celui de Moossou, des présents et des enveloppes. Mais aussi et surtout des boissons pour la purification de la terre bassamoise.
La journée s’est achevée par une visite au CHU de Treichville où Mambé a apporté son soutien aux victimes de la barbarie des terroristes. Il a annoncé le don, dans les jours à venir, de matériel médical de haute technologique et des consommables aux hôpitaux d’Abidjan.
A travers ces paroles, Beugré Mambé a voulu traduire, malgré la tragédie qui a coûté la vie à 18 personnes innocentes, la victoire de la vie sur la mort. Mais surtout dire aux terroristes qui ont semé la mort, qu’ils ne peuvent pas avoir raison de la détermination des peuples de Côte d’Ivoire à rester debout.
Aussi, face à la bêtise humaine du dimanche 12 mars dernier, le gouverneur Mambé s’est-il posé une série d’interrogations. " Pourquoi ? Pour quoi ? Que cherche-t-on ? Que vise-t-on ? Dans quel intérêt ? Pour qui ? Pour aller où ?" Mais il a surtout tenu à communiquer sa foi aux Bassamois ébranlés par cette terrible tragédie quant à la renaissance de leur ville. "Une chose nous rassure", a-t-il indiqué, "c’est que la mort ne peut pas tuer la vie, parce que la vie transcende la mort".
Poursuivant, le premier magistrat du district d’Abidjan a rappelé la place importante que la cité balnéaire située à un jet de pierre de la capitale économique de Côte d’Ivoire occupe dans le cœur des Ivoiriens. "Bassam est un symbole, une référence, un bijou. La mémoire de la Côte d’Ivoire se trouve à Bassam, elle ne va pas s’effacer. Bassam est éternel parce qu’à Bassam, il y a la vie."
Le gouverneur Mambé a aussi annoncé que dans cette terrible épreuve qui les frappe, les populations bassamoises ne sont pas seules. En témoigne le vaste élan de solidarité en leur faveur à travers le monde, singulièrement celui d’Anne Hidalgo, du maire de Paris, des maires de Bamako, de Libreville, de Montréal, de Libreville, de Nice et l’Association Internationale des Maires Francophones. Pour ainsi dire, "le combat n’est pas qu’ivoirien, il est universel", a souligné Mambé qui a clos son propos sur une note d’espoir : "Bassam vivra. Dieu est avec vous, ne craignez rien."
Peu avant, le gouverneur du district d’Abidjan a pris part, aux côtés du chef de l’Etat, à une brève cérémonie au cours de laquelle le président Ouattara a déposé une gerbe de fleurs, au premier endroit que les terroristes ont frappé : le réceptif hôtelier Etoile du Sud. Le numéro un ivoirien a réaffirmé, à l’occasion, que la Côte d’Ivoire restera debout et ne se laissera pas intimidée par les terroristes. Puis il est allé tenir un conseil des ministres au centre culturel Jean Baptiste Mockey.
Signalons que Beugré Mambé a offert au conseil municipal de Grand Bassam, dirigé par le maire Georges Philippe Ezalé, au roi des N’Zima et à celui de Moossou, des présents et des enveloppes. Mais aussi et surtout des boissons pour la purification de la terre bassamoise.
La journée s’est achevée par une visite au CHU de Treichville où Mambé a apporté son soutien aux victimes de la barbarie des terroristes. Il a annoncé le don, dans les jours à venir, de matériel médical de haute technologique et des consommables aux hôpitaux d’Abidjan.