L’ex-chef d’Etat ivoirien Henri Konan Bédié a appelé vendredi les Ivoiriens à "la solidarité" devant les attaques djihadistes, félicitant le gouvernement et l’armée pour "leur réaction rapide" lors de la fusillade dimanche d’une plage à Grand-Bassam (40 km à l’Est d’Abidjan), après une audience avec le président Alassane Ouattara.
"Je suis venu avec mes collaborateurs apporter notre soutien et féliciter le gouvernement et les forces de défense pour leur réaction rapide et immédiate", a affirmé M. Bédié, cinq jours après l’attaque de la ville touristique de grand-Bassam.
Dimanche, 19 personnes dont 11 Ivoiriens ont été tuées dans une attaque armée de trois hôtels de la cité balnéaire de Grand-Bassam, selon le dernier bilan du gouvernement, qui a annoncé trois djihadistes abattus au cours de l’opération.
"Nous souhaitons que le peuple ivoirien renforce sa solidarité pour faire front à de pareilles attaques", a conclu le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, allié au pouvoir).
Le gouvernement ivoirien a décidé de renforcer la sécurité des écoles, ambassades, sièges des organisations internationales, les résidences de chefs de missions diplomatiques", les sites publics et les frontières, au lendemain de cette fusillade, revendiquée par Al Qaida au Maghreb Islamique (Aqmi).
EFI
"Je suis venu avec mes collaborateurs apporter notre soutien et féliciter le gouvernement et les forces de défense pour leur réaction rapide et immédiate", a affirmé M. Bédié, cinq jours après l’attaque de la ville touristique de grand-Bassam.
Dimanche, 19 personnes dont 11 Ivoiriens ont été tuées dans une attaque armée de trois hôtels de la cité balnéaire de Grand-Bassam, selon le dernier bilan du gouvernement, qui a annoncé trois djihadistes abattus au cours de l’opération.
"Nous souhaitons que le peuple ivoirien renforce sa solidarité pour faire front à de pareilles attaques", a conclu le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, allié au pouvoir).
Le gouvernement ivoirien a décidé de renforcer la sécurité des écoles, ambassades, sièges des organisations internationales, les résidences de chefs de missions diplomatiques", les sites publics et les frontières, au lendemain de cette fusillade, revendiquée par Al Qaida au Maghreb Islamique (Aqmi).
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