Abidjan - La ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes, Mariatou Koné, appelle les populations ivoiriennes à éviter le piège de la stigmatisation et de l’indexation de certaines personnes ou de certains groupes sociaux après l’attaque terroriste de Grand-Bassam.
Selon celle-ci il s’agit notamment pour ses compatriotes d’éviter de troubler la paix sociale avec un tel type de comportement sous le prétexte de répondre à l’appel à la vigilance lancé par le gouvernement.
« Notre vigilance ne doit pas aboutir à la stigmatisation et à l’indexation qui mettrait à mal la cohésion sociale. Leurs effets seraient encore plus nuisibles que ceux des actes de lâcheté du terrorisme », a-t-elle lancé, rappelant la nécessité pour les ivoiriens de continuer de vivre après le drame, inédit, qu’ils ont vécu.
« Malgré l’épreuve de la douleur, la vie doit continuer, elle doit continuer pour montrer notre volonté inébranlable de ne pas céder face au terrorisme », a exprimé en outre Mme la ministre de la Cohésion Sociale qui s’exprimait à l’occasion de la journée d’hommage aux victimes organisée dimanche par le gouvernement au stade de Grand-Bassam.
La ville balnéaire de Grand-Bassam a subi dimanche une attaque jihadiste qui a fait 19 morts et 24 blessés.
Le gouvernement a exceptionnellement déplacé mercredi sa réunion hebdomadaire du conseil des ministres dans la première capitale ivoirienne au cours de laquelle plusieurs mesures ont été prises, notamment un deuil national de trois jours, à compter du 14 mars, le relèvement du niveau de la sécurité et l’organisation d’une journée nationale d’hommage de la nation à l’ensemble des victimes.
(AIP)
kg/ask/kp
Selon celle-ci il s’agit notamment pour ses compatriotes d’éviter de troubler la paix sociale avec un tel type de comportement sous le prétexte de répondre à l’appel à la vigilance lancé par le gouvernement.
« Notre vigilance ne doit pas aboutir à la stigmatisation et à l’indexation qui mettrait à mal la cohésion sociale. Leurs effets seraient encore plus nuisibles que ceux des actes de lâcheté du terrorisme », a-t-elle lancé, rappelant la nécessité pour les ivoiriens de continuer de vivre après le drame, inédit, qu’ils ont vécu.
« Malgré l’épreuve de la douleur, la vie doit continuer, elle doit continuer pour montrer notre volonté inébranlable de ne pas céder face au terrorisme », a exprimé en outre Mme la ministre de la Cohésion Sociale qui s’exprimait à l’occasion de la journée d’hommage aux victimes organisée dimanche par le gouvernement au stade de Grand-Bassam.
La ville balnéaire de Grand-Bassam a subi dimanche une attaque jihadiste qui a fait 19 morts et 24 blessés.
Le gouvernement a exceptionnellement déplacé mercredi sa réunion hebdomadaire du conseil des ministres dans la première capitale ivoirienne au cours de laquelle plusieurs mesures ont été prises, notamment un deuil national de trois jours, à compter du 14 mars, le relèvement du niveau de la sécurité et l’organisation d’une journée nationale d’hommage de la nation à l’ensemble des victimes.
(AIP)
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