Monsieur le Représentant du Ministre auprès du Premier Ministre, Chargé du Budget et du Portefeuille de l’Etat ;
Monsieur le Président de l’Association Française des Investisseurs pour la Croissance (AFIC) ;
Mesdames et Messieurs les Présidents et Directeurs Généraux ;
Distingués Invités ;
Mesdames et Messieurs ;
La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières est heureuse d’accueillir ce jour la cérémonie de lancement du Club Afrique de l’AFIC.
Je voudrais avant tout propos saluer la présence du Représentant du Ministre auprès du Premier Ministre, Chargé du Budget et du Portefeuille de l’Etat de la République de Côte d’Ivoire qui a bien voulu accepter de présider nos travaux.
Monsieur le Directeur de Cabinet,
Je vous prie de transmettre au Ministre Abdourahmane CISSE, l’expression de ma profonde gratitude pour sa permanente sollicitude à l’égard des Structures Centrales du marché financier régional.
Distingués Invités ;
Mesdames et Messieurs ;
Dans un monde soumis à de fortes turbulences économiques et financières depuis presqu’une décennie, la problématique du système de financement approprié pouvant assurer un développement à long terme se pose avec de plus en plus d’acuité, particulièrement en Afrique.
De façon générale sur notre Continent, les obstacles au financement des entreprises sont bien connus :
1- le climat institutionnel des affaires ;
2- le mode de gouvernance et de gestion des entreprises ; et
3- le degré de développement du secteur financier en dehors du périmètre bancaire.
C’est pour lever ce dernier obstacle que les Fonds de Capital-investissement et les marchés de capitaux doivent conjuguer leurs efforts.
Distingués Invités ;
Mesdames et Messieurs ;
La relation entre les Fonds de Capital-Investissement et la Bourse est souvent méconnue, alors qu’il existe effectivement un lien très étroit entre l’activité des Fonds de capital-investissement dans l’accompagnement des entreprises dans leurs projets de développement et l’accès à la Bourse pour poursuivre leur croissance.
La Bourse prend généralement le relais des Fonds d’investissement dans la chaîne de financement des entreprises.
La Bourse est considérée comme l’étage supérieur qui s’ouvre à toute entreprise qui a passé le cap du financement en fonds propres, bancaires et par le private equity et qui souhaite poursuivre sa croissance.
Nous avons l’occasion, tout au long de cette matinée, d’apprécier les indicateurs de l’évaluation des recherches du capital-investissement en Afrique et les sorties par le canal de la Bourse.
Cette évolution qui est positive et envisageable pour le financement de nos économies, les bourses africaines et la BRVM en particulier, entendent jouer pleinement leur partition dans la recherche de solutions à la problématique du financement des entreprises qui préoccupe depuis plusieurs années nos Etats.
Nous sommes conscients des préoccupations des Capital-investisseurs par rapport à nos marchés qui portent essentiellement sur leur faible liquidité, leur profondeur insuffisante et leur efficience relative. Ces préoccupations sont prises en charge.
Distingués invités,
Mesdames et Messieurs,
Permettez-moi de donner quelques indicateurs de performances de la BRVM au 31 décembre 2015 qui témoignent de la vitalité de notre marché boursier et de sa capacité à mettre en œuvre des actions innovantes pour donner à nos entreprises les moyens de financer leur développement :
1) 4 924 milliards de FCFA de ressources mobilisées depuis 1998 dont 4 253 milliards sous forme d’emprunts obligataires et 671 milliards sous forme d’émissions d’actions, soit 38 % des crédits accordés à l’économie par les banques.
2) 39 sociétés cotées pour une capitalisation de 7 500 milliards de FCFA, soit 14,42 % du PIB de l’UEMOA, faisant de la BRVM, la 6e bourse africaine.
3) 1,3 milliard de valeurs transigées par jour.
Notre bourse a par ailleurs été un bel exemple de résilience de notre Union en affichant 17,77 % de progression en 2015 alors que la plupart des bourses du continent ont terminé dans le rouge ; se hissant ainsi à la première place en termes de performance.
Distingués Invités ;
Mesdames et Messieurs ;
Malgré ces performances, de nombreux défis restent à être relevés pour accroitre l’attractivité de notre marché et son rôle dans le financement des économies de l’UEMOA.
Il s’agit particulièrement de :
• l’impulsion des réformes pour l’amélioration de la collecte de l’épargne à long terme ;
• la création d’un nouveau compartiment dédié aux entreprises de croissance et aux PME ;
• l’accompagnement des fonds d’investissement, pour la sortie de leurs participations par la bourse à travers des réformes règlementaires et des incitations fiscales appropriées.
Monsieur le Représentant du Ministre ;
Distingués Invités ;
Mesdames et Messieurs ;
Pour finir, je voudrais saluer cette coopération entre l’AFIC et la BRVM et souhaiter qu’elle se développe au fil des années pour une meilleure synergie en vue de l’amélioration du financement de nos économies.
Je vous remercie de votre bienveillante attention.
oOo
Monsieur le Président de l’Association Française des Investisseurs pour la Croissance (AFIC) ;
Mesdames et Messieurs les Présidents et Directeurs Généraux ;
Distingués Invités ;
Mesdames et Messieurs ;
La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières est heureuse d’accueillir ce jour la cérémonie de lancement du Club Afrique de l’AFIC.
Je voudrais avant tout propos saluer la présence du Représentant du Ministre auprès du Premier Ministre, Chargé du Budget et du Portefeuille de l’Etat de la République de Côte d’Ivoire qui a bien voulu accepter de présider nos travaux.
Monsieur le Directeur de Cabinet,
Je vous prie de transmettre au Ministre Abdourahmane CISSE, l’expression de ma profonde gratitude pour sa permanente sollicitude à l’égard des Structures Centrales du marché financier régional.
Distingués Invités ;
Mesdames et Messieurs ;
Dans un monde soumis à de fortes turbulences économiques et financières depuis presqu’une décennie, la problématique du système de financement approprié pouvant assurer un développement à long terme se pose avec de plus en plus d’acuité, particulièrement en Afrique.
De façon générale sur notre Continent, les obstacles au financement des entreprises sont bien connus :
1- le climat institutionnel des affaires ;
2- le mode de gouvernance et de gestion des entreprises ; et
3- le degré de développement du secteur financier en dehors du périmètre bancaire.
C’est pour lever ce dernier obstacle que les Fonds de Capital-investissement et les marchés de capitaux doivent conjuguer leurs efforts.
Distingués Invités ;
Mesdames et Messieurs ;
La relation entre les Fonds de Capital-Investissement et la Bourse est souvent méconnue, alors qu’il existe effectivement un lien très étroit entre l’activité des Fonds de capital-investissement dans l’accompagnement des entreprises dans leurs projets de développement et l’accès à la Bourse pour poursuivre leur croissance.
La Bourse prend généralement le relais des Fonds d’investissement dans la chaîne de financement des entreprises.
La Bourse est considérée comme l’étage supérieur qui s’ouvre à toute entreprise qui a passé le cap du financement en fonds propres, bancaires et par le private equity et qui souhaite poursuivre sa croissance.
Nous avons l’occasion, tout au long de cette matinée, d’apprécier les indicateurs de l’évaluation des recherches du capital-investissement en Afrique et les sorties par le canal de la Bourse.
Cette évolution qui est positive et envisageable pour le financement de nos économies, les bourses africaines et la BRVM en particulier, entendent jouer pleinement leur partition dans la recherche de solutions à la problématique du financement des entreprises qui préoccupe depuis plusieurs années nos Etats.
Nous sommes conscients des préoccupations des Capital-investisseurs par rapport à nos marchés qui portent essentiellement sur leur faible liquidité, leur profondeur insuffisante et leur efficience relative. Ces préoccupations sont prises en charge.
Distingués invités,
Mesdames et Messieurs,
Permettez-moi de donner quelques indicateurs de performances de la BRVM au 31 décembre 2015 qui témoignent de la vitalité de notre marché boursier et de sa capacité à mettre en œuvre des actions innovantes pour donner à nos entreprises les moyens de financer leur développement :
1) 4 924 milliards de FCFA de ressources mobilisées depuis 1998 dont 4 253 milliards sous forme d’emprunts obligataires et 671 milliards sous forme d’émissions d’actions, soit 38 % des crédits accordés à l’économie par les banques.
2) 39 sociétés cotées pour une capitalisation de 7 500 milliards de FCFA, soit 14,42 % du PIB de l’UEMOA, faisant de la BRVM, la 6e bourse africaine.
3) 1,3 milliard de valeurs transigées par jour.
Notre bourse a par ailleurs été un bel exemple de résilience de notre Union en affichant 17,77 % de progression en 2015 alors que la plupart des bourses du continent ont terminé dans le rouge ; se hissant ainsi à la première place en termes de performance.
Distingués Invités ;
Mesdames et Messieurs ;
Malgré ces performances, de nombreux défis restent à être relevés pour accroitre l’attractivité de notre marché et son rôle dans le financement des économies de l’UEMOA.
Il s’agit particulièrement de :
• l’impulsion des réformes pour l’amélioration de la collecte de l’épargne à long terme ;
• la création d’un nouveau compartiment dédié aux entreprises de croissance et aux PME ;
• l’accompagnement des fonds d’investissement, pour la sortie de leurs participations par la bourse à travers des réformes règlementaires et des incitations fiscales appropriées.
Monsieur le Représentant du Ministre ;
Distingués Invités ;
Mesdames et Messieurs ;
Pour finir, je voudrais saluer cette coopération entre l’AFIC et la BRVM et souhaiter qu’elle se développe au fil des années pour une meilleure synergie en vue de l’amélioration du financement de nos économies.
Je vous remercie de votre bienveillante attention.
oOo