Vivre en ignorant ses origines, une situation incontestablement gênante pour tout intellectuel ou non en quête d’identité. Comment donc résoudre cet épineux problème dont la source se trouve au cœur du domaine vital de tout être ? C’est ce qui a poussé à l’organisation du festival des ethnies ivoiriennes (FETHNI) au palais de la culture très bientôt. L’information a été donnée par les promoteurs de cet évènement tant attendu sur l’échiquier culturel national. L’objectif, selon eux, est de permettre aux ivoiriens et ceux qui vivent en Côte d’Ivoire de mieux découvrir l’ethnologie des populations. A cela s’ajoute la levée de voile sur des groupes ethniques jugés minoritaires ou jusqu’ici méconnus.
Dans cet élan, aux découvertes gastronomiques s’ajouteront des joutes esthétiques et intellectuelles question de démontrer qu’une ethnie ne s’identifie pas que par le patois. Une mise en avant que les initiateurs veulent ouverte à tel point que des sites secondaires seront opérationnels auprès d’écoles et autres centres bien connus des abidjanais. Puis, comme pour scotcher un large public, des jeux et concours interactifs sur les ethnies viendront meubler les temps forts.
Au cours de cette grande messe notons que le volet littéraire mettra en exergue les identités intellectuelles par les dédicaces de plusieurs ouvrages ayant attrait aux groupes ethniques. Car, on le sait plusieurs écrivains ou auteurs ont réalisé des ouvrages sur le caractère sociétal du creuset ethnique ou régional. Et, la musique traditionnelle et tradi-moderne, richesse sans contestation des certaines ethnies ivoiriennes sera également l’une des attractions de ce festival. Pour les promoteurs du Fethni, la cohésion sociale est un facteur de paix et de développement durable qui débouche sur une émergence globale. Connaitre donc l’autre est une richesse. « Il suffit tout simplement de mettre en valeur nos potentialités culturelles et nous serons plus riches au moment du donner et du recevoir car nous avons beaucoup à donner. Il faut préserver son identité culturelle afin de mieux affronter l’ avenir » dixit Mme Aho Sonia commissaire du Fethni.
Dans cet élan, aux découvertes gastronomiques s’ajouteront des joutes esthétiques et intellectuelles question de démontrer qu’une ethnie ne s’identifie pas que par le patois. Une mise en avant que les initiateurs veulent ouverte à tel point que des sites secondaires seront opérationnels auprès d’écoles et autres centres bien connus des abidjanais. Puis, comme pour scotcher un large public, des jeux et concours interactifs sur les ethnies viendront meubler les temps forts.
Au cours de cette grande messe notons que le volet littéraire mettra en exergue les identités intellectuelles par les dédicaces de plusieurs ouvrages ayant attrait aux groupes ethniques. Car, on le sait plusieurs écrivains ou auteurs ont réalisé des ouvrages sur le caractère sociétal du creuset ethnique ou régional. Et, la musique traditionnelle et tradi-moderne, richesse sans contestation des certaines ethnies ivoiriennes sera également l’une des attractions de ce festival. Pour les promoteurs du Fethni, la cohésion sociale est un facteur de paix et de développement durable qui débouche sur une émergence globale. Connaitre donc l’autre est une richesse. « Il suffit tout simplement de mettre en valeur nos potentialités culturelles et nous serons plus riches au moment du donner et du recevoir car nous avons beaucoup à donner. Il faut préserver son identité culturelle afin de mieux affronter l’ avenir » dixit Mme Aho Sonia commissaire du Fethni.