Une icône du théâtre ivoirien, Adjé Daniel, a été honorée, vendredi, à la 36ème édition du Popo Carnaval de Bonoua à la place Amangoua de cette localité en présence d’autorités politiques et coutumières locales et d’une une foule immense.
Une place au parc M’Ploussoué porte désormais son nom. Une déclamation dithyrambique de haut vol lui a été composée et récitée par Bomou Mamadou, à la grande joie de tous les spectateurs et surtout de l’artiste lui-même, transi d’émotion. De nombreux cadeaux dont une assurance maladie d’un capital d’un million FCFA du député-maire de Bonoua lui ont été remis.
De nombreux témoignages sur le parcours de M. Adjé ont été rendus, à cette occasion, d’où l’on apprendra qu’il est né le 03 mars 1942 à Bonoua, et a eu son cursus scolaire à l’école primaire de Grand Bassam.
Puis celui qui rêvait d’être mécanicien parce que très méticuleux, selon l’ex-ministre Ezan Akélé s’est finalement orienté vers l’horlogerie, en 1952. A 16 ans il débuta sa carrière au théâtre, toujours selon M. AKélé, « parce que c’est un observateur avisé de la société et crée en 1970 l’union théâtrale de côte d’ivoire (UTCI)
Il y mobilise des passionnés d’art dramatique comme lui : médecins, policiers, enseignants, banquiers pour mettre en scène et jouer des pièces de notoriété, à jamais inscrites dans l’imagerie populaire des Ivoiriens, telles que « Kouao Adjoba», « N’Zélébessè», « Les mains vides», « La maîtresse» (…), ce qui lui ont valu d’être fait officier, chevalier, puis commandeur du mérite ivoirien des arts et de la culture avant de se voir décerner par l’institut Goethe le prix spécial d’interprétation de la vie sociale.
Marié et père de huit enfants, Adjé Daniel est un amoureux du jazz, du Tango et de la musique afro cubaine, un artiste dans l’âme qui est frappé depuis 2000 par une maladie invalidante.
as/ask
Une place au parc M’Ploussoué porte désormais son nom. Une déclamation dithyrambique de haut vol lui a été composée et récitée par Bomou Mamadou, à la grande joie de tous les spectateurs et surtout de l’artiste lui-même, transi d’émotion. De nombreux cadeaux dont une assurance maladie d’un capital d’un million FCFA du député-maire de Bonoua lui ont été remis.
De nombreux témoignages sur le parcours de M. Adjé ont été rendus, à cette occasion, d’où l’on apprendra qu’il est né le 03 mars 1942 à Bonoua, et a eu son cursus scolaire à l’école primaire de Grand Bassam.
Puis celui qui rêvait d’être mécanicien parce que très méticuleux, selon l’ex-ministre Ezan Akélé s’est finalement orienté vers l’horlogerie, en 1952. A 16 ans il débuta sa carrière au théâtre, toujours selon M. AKélé, « parce que c’est un observateur avisé de la société et crée en 1970 l’union théâtrale de côte d’ivoire (UTCI)
Il y mobilise des passionnés d’art dramatique comme lui : médecins, policiers, enseignants, banquiers pour mettre en scène et jouer des pièces de notoriété, à jamais inscrites dans l’imagerie populaire des Ivoiriens, telles que « Kouao Adjoba», « N’Zélébessè», « Les mains vides», « La maîtresse» (…), ce qui lui ont valu d’être fait officier, chevalier, puis commandeur du mérite ivoirien des arts et de la culture avant de se voir décerner par l’institut Goethe le prix spécial d’interprétation de la vie sociale.
Marié et père de huit enfants, Adjé Daniel est un amoureux du jazz, du Tango et de la musique afro cubaine, un artiste dans l’âme qui est frappé depuis 2000 par une maladie invalidante.
as/ask