Adjé Daniel, figure emblématique du théâtre ivoirien a été honoré à Bonoua le 1er Avril 2016, par le commissariat général du Popo carnaval.
Le théâtre à ciel ouvert du parc ‘‘Mploussoué’’ a été baptisé du nom d’Adjé Daniel. La stèle qui en est le symbole a été dressée non loin du musée situé dans l’espace gastronomique du carnaval. C’était le 1er avril 2016, lors d’une journée d’hommage qui lui a été dédiée et qui a eu lieu dans la commune de Bonoua, sa ville natale.
L’objectif de cette cérémonie qui est de pérenniser le nom de l’artiste a été l’occasion de multiple dons. A savoir, un tableau sculpter à l’effigie du dramaturge, des sandales, un ensemble traditionnel ‘‘Kita’’, une enveloppe de un million et une couverture maladie de 5 ans. cela pour qu’il serve d’exemple pour la jeunesse. « Nous devons nous laisser enseigner Adjé Daniel car les jeunes générations ne connaissent pas ce monument de l’art théâtrale. Il nous fallait le célébrer afin de le montrer à tous. Que le monde connaisse ses origines c’est-à-dire ‘‘Obolwon’', l’orée de la forêt, la cité de l’ananas et du popo carnaval » a affirmé Johnwan Teke Norbert, le député- maire de Bonoua.
Adjé Daniel vêtu d’un ensemble dentelle blanc, suivait attentivement la cérémonie en son honneur avec beaucoup d’émotion. « Cette journée restera gravée là. Dans mon cœur à jamais. Les mots me manquent…», a-t-il dit en posant la main droite sur le côté gauche de sa poitrine, la voix étreinte par l’émotion. En effet, selon les organisateurs, l’artiste a toujours préféré les hommages à ‘‘titre costume’’ et non posthume. Aussi le peuple Abouré entend-il par cet acte marquer d’une pierre blanche la reconnaissance et l’affection du peuple Abouré à l’un de ses fils qui a fait la fierté de la Côte d’Ivoire, par ses productions. Notamment « Nzèlibèssè » et « les mains vides ». Des œuvres théâtrales qui ont valu à Adjé Daniel le prix special de l’institut Goethe interprétations de la vie sociale et plusieurs autres distinctions de l’Etat ivoirien. A savoir officier, puis chevalier, ensuite commandeur du mérite ivoirien des arts et de la culture.
L’un des temps forts de cette cérémonie a été l’interprétation d’une de ses productions ‘‘les mains vides’’ par la troupe des enfants de l’école méthodiste la paix de Bonoua. Un moment qui a captivé l’attention de tous et arraché des éclats de rires à l’artiste ainsi qu’aux spectateurs venus nombreux. Les organisateurs ont profité de cette lucarne pour annoncer la construction prochaine du palais du carnaval.
Angeline DJERABE
Le théâtre à ciel ouvert du parc ‘‘Mploussoué’’ a été baptisé du nom d’Adjé Daniel. La stèle qui en est le symbole a été dressée non loin du musée situé dans l’espace gastronomique du carnaval. C’était le 1er avril 2016, lors d’une journée d’hommage qui lui a été dédiée et qui a eu lieu dans la commune de Bonoua, sa ville natale.
L’objectif de cette cérémonie qui est de pérenniser le nom de l’artiste a été l’occasion de multiple dons. A savoir, un tableau sculpter à l’effigie du dramaturge, des sandales, un ensemble traditionnel ‘‘Kita’’, une enveloppe de un million et une couverture maladie de 5 ans. cela pour qu’il serve d’exemple pour la jeunesse. « Nous devons nous laisser enseigner Adjé Daniel car les jeunes générations ne connaissent pas ce monument de l’art théâtrale. Il nous fallait le célébrer afin de le montrer à tous. Que le monde connaisse ses origines c’est-à-dire ‘‘Obolwon’', l’orée de la forêt, la cité de l’ananas et du popo carnaval » a affirmé Johnwan Teke Norbert, le député- maire de Bonoua.
Adjé Daniel vêtu d’un ensemble dentelle blanc, suivait attentivement la cérémonie en son honneur avec beaucoup d’émotion. « Cette journée restera gravée là. Dans mon cœur à jamais. Les mots me manquent…», a-t-il dit en posant la main droite sur le côté gauche de sa poitrine, la voix étreinte par l’émotion. En effet, selon les organisateurs, l’artiste a toujours préféré les hommages à ‘‘titre costume’’ et non posthume. Aussi le peuple Abouré entend-il par cet acte marquer d’une pierre blanche la reconnaissance et l’affection du peuple Abouré à l’un de ses fils qui a fait la fierté de la Côte d’Ivoire, par ses productions. Notamment « Nzèlibèssè » et « les mains vides ». Des œuvres théâtrales qui ont valu à Adjé Daniel le prix special de l’institut Goethe interprétations de la vie sociale et plusieurs autres distinctions de l’Etat ivoirien. A savoir officier, puis chevalier, ensuite commandeur du mérite ivoirien des arts et de la culture.
L’un des temps forts de cette cérémonie a été l’interprétation d’une de ses productions ‘‘les mains vides’’ par la troupe des enfants de l’école méthodiste la paix de Bonoua. Un moment qui a captivé l’attention de tous et arraché des éclats de rires à l’artiste ainsi qu’aux spectateurs venus nombreux. Les organisateurs ont profité de cette lucarne pour annoncer la construction prochaine du palais du carnaval.
Angeline DJERABE