La 4ème édition du concours Awoulaba se tiendra du 15 avril au 4 juin 2016. Mme Geneviève Dahon, présidente exécutive du Comité Awoulaba Côte d’Ivoire (Caci), a annoncé, au cours de la cérémonie de lancement des activités de l’édition 2016, vendredi dernier, à la salle Emmanuel Dioulo de l’hôtel du District d’Abidjan, que le comité directeur «s’engage, cette année, à faire mieux que l’édition précédente, qui a connu un succès éclatant». De ce fait, elle a déclaré qu’au total, 14 présélections seront organisées sur toute l’étendue du territoire national avant la finale qui aura lieu, le 13 août prochain, au Palais de la Culture d’Abidjan-Treichville, sur le thème «L’implication de l’homme dans la pratique du planning familial».
Comme innovations, la première responsable du Caci a révélé, entre autres, qu’une ouverture sera faite sur l’intégration africaine (Cedeao) en ce sens que chaque candidate devrait mettre en valeur une tenue africaine dans le but de célébrer l’unité et la cohésion. Aussi a-t-elle rendu un hommage à Jonas Lago, son prédécesseur à la tête Caci, avant de souligner que les candidates malheureuses recevront une bourse d’études en formation qualifiante.
L’honorable Mariam Traoré, député de Tengrela, marraine de l’édition 2016, a plaidé pour l’octroi d’un terrain auprès des autorités présentes à la lauréate Awoulaba 2016. Selon elle, le concours Awoulaba, dans la promotion culturelle de la Côte d’Ivoire, valorise la femme africaine. «C’est notre produit ; c’est original», a-t-elle poursuivi.
Par ailleurs, Jonas Lagos, président d’honneur et conseiller du Caci, n’a pas manqué de faire l’historique du concours créé par Pol Dokui dans les années 80 et la toute 1ère Awoulaba est Opportune Boua.
Il a également donné les critères de participation au concours. Notamment être de nationalité ivoirienne ; l’âge varie entre 25 ans et 45 ans ; être célibataire ou marié. Physiquement, la candidate doit «être de taille moyenne avec une morphologie harmonieuse doublée d’un teint naturel, ainsi qu’une chevelure abondante dégagée sur un visage angélique mis en valeur par une bouche sensuelle assortie de dents blanches traduisant un écart central accompagné d’un sourire attrayant». «Un bassin large, estime-t-il, avec une belle chute du globe fessier fourni qui certainement conduirait à une démarche rythmée pointée d’une maîtrise de corps, y compris des mollets charnus comme le bois bété, sans oublier que la candidate doit pouvoir s’exprimer correctement».
Marina KONAN
Stagiaire
Comme innovations, la première responsable du Caci a révélé, entre autres, qu’une ouverture sera faite sur l’intégration africaine (Cedeao) en ce sens que chaque candidate devrait mettre en valeur une tenue africaine dans le but de célébrer l’unité et la cohésion. Aussi a-t-elle rendu un hommage à Jonas Lago, son prédécesseur à la tête Caci, avant de souligner que les candidates malheureuses recevront une bourse d’études en formation qualifiante.
L’honorable Mariam Traoré, député de Tengrela, marraine de l’édition 2016, a plaidé pour l’octroi d’un terrain auprès des autorités présentes à la lauréate Awoulaba 2016. Selon elle, le concours Awoulaba, dans la promotion culturelle de la Côte d’Ivoire, valorise la femme africaine. «C’est notre produit ; c’est original», a-t-elle poursuivi.
Par ailleurs, Jonas Lagos, président d’honneur et conseiller du Caci, n’a pas manqué de faire l’historique du concours créé par Pol Dokui dans les années 80 et la toute 1ère Awoulaba est Opportune Boua.
Il a également donné les critères de participation au concours. Notamment être de nationalité ivoirienne ; l’âge varie entre 25 ans et 45 ans ; être célibataire ou marié. Physiquement, la candidate doit «être de taille moyenne avec une morphologie harmonieuse doublée d’un teint naturel, ainsi qu’une chevelure abondante dégagée sur un visage angélique mis en valeur par une bouche sensuelle assortie de dents blanches traduisant un écart central accompagné d’un sourire attrayant». «Un bassin large, estime-t-il, avec une belle chute du globe fessier fourni qui certainement conduirait à une démarche rythmée pointée d’une maîtrise de corps, y compris des mollets charnus comme le bois bété, sans oublier que la candidate doit pouvoir s’exprimer correctement».
Marina KONAN
Stagiaire