Abidjan, 23 mars (AIP)- Une dizaine d’acteurs de la santé bénéficient, de mardi à jeudi, au centre de chirurgie et de réparation plastique à Abidjan-Cocody, d’une formation sur l’application du système d’information sur l’ulcère de Buruli, dénommé E-santé-UB.
Initié par le Rotary club Cocody-sud en collaboration avec le ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique à travers le Programme national de lutte contre l’Ulcère de Buruli, cet atelier réunit des responsables des zones de coordination venus, entre autres de Bouaké, Yamoussoukro, Zoukougbeu, et Sakassou. Ils devront instruire à leur tour les infirmiers et agents communautaires des zones endémiques.
Selon M. Diarrasouba Mati, le responsable technique à Electronique Management, structure chargée de la mise en œuvre de E-Santé UB, ce projet a pour objectif principal de faciliter la diffusion de l’information, afin de permettre à chaque acteur d’agir le plus tôt possible quand un cas est décelé, de sorte à ce que le malade soit traité le plus rapidement et plus efficacement possible. Ce projet vise ainsi l’éradication de la maladie par un dépistage précoce.
« Avec ce système, les différents agents de santé communautaires sillonnent, les villages font de la sensibilisation, du porte- à-porte, afin de décéler des cas suspects et les inscrire dans la base de donnés. Il y a aussi des centres de santé ruraux à l’intérieur du pays ou les malades sont invités à se faire contrôler par les infirmiers et recensés dans le système d’information », a-t-il expliqué.
Pour le coordonnateur national des TIC en Santé, au Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, Franck Simon Bléhiri, E-Santé UB s’inscrit dans le cadre de la ‘’télémédecine’’ qui, selon lui, est une pratique à part entière permettant de fédérer et mutualiser les ressources humaines dans le domaine de la santé.
Quelque 549 malades ont été enregistrés en Côte d’Ivoire En 2015, a indiqué Dr Assié N’Da Macelin, chef du service de la sensibilisation et du dépistage précoce de l’ulcère de Buruli, soulignant qu’ aucun vaccin n’existe à ce jour contre cette maladie.
tad/ask
Initié par le Rotary club Cocody-sud en collaboration avec le ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique à travers le Programme national de lutte contre l’Ulcère de Buruli, cet atelier réunit des responsables des zones de coordination venus, entre autres de Bouaké, Yamoussoukro, Zoukougbeu, et Sakassou. Ils devront instruire à leur tour les infirmiers et agents communautaires des zones endémiques.
Selon M. Diarrasouba Mati, le responsable technique à Electronique Management, structure chargée de la mise en œuvre de E-Santé UB, ce projet a pour objectif principal de faciliter la diffusion de l’information, afin de permettre à chaque acteur d’agir le plus tôt possible quand un cas est décelé, de sorte à ce que le malade soit traité le plus rapidement et plus efficacement possible. Ce projet vise ainsi l’éradication de la maladie par un dépistage précoce.
« Avec ce système, les différents agents de santé communautaires sillonnent, les villages font de la sensibilisation, du porte- à-porte, afin de décéler des cas suspects et les inscrire dans la base de donnés. Il y a aussi des centres de santé ruraux à l’intérieur du pays ou les malades sont invités à se faire contrôler par les infirmiers et recensés dans le système d’information », a-t-il expliqué.
Pour le coordonnateur national des TIC en Santé, au Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, Franck Simon Bléhiri, E-Santé UB s’inscrit dans le cadre de la ‘’télémédecine’’ qui, selon lui, est une pratique à part entière permettant de fédérer et mutualiser les ressources humaines dans le domaine de la santé.
Quelque 549 malades ont été enregistrés en Côte d’Ivoire En 2015, a indiqué Dr Assié N’Da Macelin, chef du service de la sensibilisation et du dépistage précoce de l’ulcère de Buruli, soulignant qu’ aucun vaccin n’existe à ce jour contre cette maladie.
tad/ask