Abidjan (Côte d’Ivoire) - La deuxième édition du Festival de reggae dénommé « AbiReggae » s’est ouverte, jeudi, à Abidjan en présence du ministre de la Culture et de la Francophonie Maurice Bandama Kouakou avec au menu le partage de connaissance et l’interpellation collective de la conscience, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
« Le reggae est une musique de combat, mais pas un combat pour la haine, par les armes de destruction massive. C’est un combat par la musique, la culture. C’est un combat qui rassemble, qui élève les cœurs, qui créé l’amour, l’amitié », a relevé le ministre Maurice Kouakou Bandama.
« La Côte d’Ivoire a bien intégré le combat de l’amour par le reggae » a-t-il poursuivi saluant les promoteurs et porte-flambeau ivoiriens de ce genre musical, Alpha Blondy, Tiken Jah, Ismaël Isaac, Tangara Speed Gooda.
Le ministre Maurice Kouakou Bandama s’est félicité de la tenue de ce festival après le Marché des arts et du spectacle africain (MASA), du festival du Jazz de Kolia et à quelques jours du Festival des musiques urbaines d’Anoumanbo (FEMUA). Selon lui toutes ces activités montrent le dynamisme culturel en Côte d’Ivoire.
« Nous ferons au cours de ces quatre jours plein d’émotion, de vibration et de sensation, des réflexions et l’interpellation collective de la conscience », a pour sa part promis, le ministre ivoirien de l’emploi et de la protection sociale Moussa Dosso, initiateur du Festival AbiReggae.
Sur les motivations de la mise en place de ce projet, il a expliqué que «ce rendez-vous a été voulu par une équipe de jeunes africains ayant foi à l’avenir de l’Afrique et convaincu de l’universalité de la musique reggae pour partager une passion commune, partager la connaissance et le savoir».
« L’innovation de 2016 est la dimension intégration de notre continent qui est réaffirmée à travers la participation d’artistes et de conférenciers venus du monde entier .Notre ambition est de réunir au même endroit pendant quatre jours des peuples partageant la même passion pour la culture et la musique reggae », a-t-il poursuivi.
Outre les différentes scènes où vont se produire de nombreuses stars mondiales des reggaes tels que le jamaïcain Julien Marley, l’un des fils de Bob Marley, Tiken Jah Facoly de la Côte d’ Ivoire, Koko Dembélé du Mali et Morgan Héritage, un colloque sur les thèmes relatifs à l’esclavage, le panafricanisme, le rastafarisme et l’avenir du reggae en Afrique va occuper les festivaliers de cette deuxième édition d’AbiReggae prévue pour s’achever le 10 avril prochain.
SY/ls
« Le reggae est une musique de combat, mais pas un combat pour la haine, par les armes de destruction massive. C’est un combat par la musique, la culture. C’est un combat qui rassemble, qui élève les cœurs, qui créé l’amour, l’amitié », a relevé le ministre Maurice Kouakou Bandama.
« La Côte d’Ivoire a bien intégré le combat de l’amour par le reggae » a-t-il poursuivi saluant les promoteurs et porte-flambeau ivoiriens de ce genre musical, Alpha Blondy, Tiken Jah, Ismaël Isaac, Tangara Speed Gooda.
Le ministre Maurice Kouakou Bandama s’est félicité de la tenue de ce festival après le Marché des arts et du spectacle africain (MASA), du festival du Jazz de Kolia et à quelques jours du Festival des musiques urbaines d’Anoumanbo (FEMUA). Selon lui toutes ces activités montrent le dynamisme culturel en Côte d’Ivoire.
« Nous ferons au cours de ces quatre jours plein d’émotion, de vibration et de sensation, des réflexions et l’interpellation collective de la conscience », a pour sa part promis, le ministre ivoirien de l’emploi et de la protection sociale Moussa Dosso, initiateur du Festival AbiReggae.
Sur les motivations de la mise en place de ce projet, il a expliqué que «ce rendez-vous a été voulu par une équipe de jeunes africains ayant foi à l’avenir de l’Afrique et convaincu de l’universalité de la musique reggae pour partager une passion commune, partager la connaissance et le savoir».
« L’innovation de 2016 est la dimension intégration de notre continent qui est réaffirmée à travers la participation d’artistes et de conférenciers venus du monde entier .Notre ambition est de réunir au même endroit pendant quatre jours des peuples partageant la même passion pour la culture et la musique reggae », a-t-il poursuivi.
Outre les différentes scènes où vont se produire de nombreuses stars mondiales des reggaes tels que le jamaïcain Julien Marley, l’un des fils de Bob Marley, Tiken Jah Facoly de la Côte d’ Ivoire, Koko Dembélé du Mali et Morgan Héritage, un colloque sur les thèmes relatifs à l’esclavage, le panafricanisme, le rastafarisme et l’avenir du reggae en Afrique va occuper les festivaliers de cette deuxième édition d’AbiReggae prévue pour s’achever le 10 avril prochain.
SY/ls