Abidjan (Côte d’Ivoire) - José Graziano da Silva, Directeur général de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a plaidé, jeudi, à Abidjan pour des partenariats plus ‘’solides’’ avec les petits Etats insulaires en développement (PEID).
M. Graziano qui s’exprimait lors d’une session sur les PEID, en marge de la 29ème Conférence régionale de la FAO pour l’Afrique, a appelé le système des Nations Unies, les organismes régionaux et inter-régionaux, les partenaires au développement et les acteurs non étatiques à relever les défis auxquels sont confrontés les PIED.
‘’La promotion du développement de l’agriculture et des systèmes alimentaires dans les PIED vise à fournir des instruments financiers comme moteurs du programme pour une agriculture sensible à la nutrition et des systèmes alimentaires durables, ce qui ne peut être atteint sans la participation d’autres acteurs à la fois aux niveaux national et régional’’, a indiqué le directeur général de la FAO.
Selon lui, son organisation continuera à coopérer avec les petits pays insulaires pour ‘’accroître et diversifier la productivité et la compétitivité dans les secteurs d’intérêt régional en matière d’agriculture durable pour parvenir à une sécurité alimentaire et une nutrition optimales’’.
La FAO, a ajouté Graziano da Silva, encourage tous les pays de la région de l’Océan indien, notamment, les Comores, le Madagascar, l’Île Maurice et les Seychelles pour qu’ils développent des stratégies globales en matière de sécurité alimentaire et de nutrition.
Les petits États insulaires en développement (PIED) sont des pays situés au niveau de la mer présentant des défis semblables au niveau du développement durable, dont notamment la gestion de la population, des ressources limitées, de l’isolement, de la sensibilité aux catastrophes naturelles, d’une grande dépendance au commerce international et d’un environnement précaire.
Leur croissance et développement sont limités par de forts coûts au niveau des communications, de l’énergie, du transport, des infrastructures et de l’administration publique, leur petite taille les empêchant d’effectuer des économies d’échelle.
52 petits états insulaires en développement (PIED)des Caraïbes, du Pacifique et l’Afrique, de l’Océan Indien, de la Méditerranée et la mer de Chine méridionale ont été reconnus comme un groupe à part de pays en développement en juin 1992, lors de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement.
HS/ls/APA
M. Graziano qui s’exprimait lors d’une session sur les PEID, en marge de la 29ème Conférence régionale de la FAO pour l’Afrique, a appelé le système des Nations Unies, les organismes régionaux et inter-régionaux, les partenaires au développement et les acteurs non étatiques à relever les défis auxquels sont confrontés les PIED.
‘’La promotion du développement de l’agriculture et des systèmes alimentaires dans les PIED vise à fournir des instruments financiers comme moteurs du programme pour une agriculture sensible à la nutrition et des systèmes alimentaires durables, ce qui ne peut être atteint sans la participation d’autres acteurs à la fois aux niveaux national et régional’’, a indiqué le directeur général de la FAO.
Selon lui, son organisation continuera à coopérer avec les petits pays insulaires pour ‘’accroître et diversifier la productivité et la compétitivité dans les secteurs d’intérêt régional en matière d’agriculture durable pour parvenir à une sécurité alimentaire et une nutrition optimales’’.
La FAO, a ajouté Graziano da Silva, encourage tous les pays de la région de l’Océan indien, notamment, les Comores, le Madagascar, l’Île Maurice et les Seychelles pour qu’ils développent des stratégies globales en matière de sécurité alimentaire et de nutrition.
Les petits États insulaires en développement (PIED) sont des pays situés au niveau de la mer présentant des défis semblables au niveau du développement durable, dont notamment la gestion de la population, des ressources limitées, de l’isolement, de la sensibilité aux catastrophes naturelles, d’une grande dépendance au commerce international et d’un environnement précaire.
Leur croissance et développement sont limités par de forts coûts au niveau des communications, de l’énergie, du transport, des infrastructures et de l’administration publique, leur petite taille les empêchant d’effectuer des économies d’échelle.
52 petits états insulaires en développement (PIED)des Caraïbes, du Pacifique et l’Afrique, de l’Océan Indien, de la Méditerranée et la mer de Chine méridionale ont été reconnus comme un groupe à part de pays en développement en juin 1992, lors de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement.
HS/ls/APA