La 2ème édition de festival international de reggae d’Abidjan a ouvert ses portes le jeudi 07 avril 2016 au palais de la Culture en présence du ministre de la Culture et de la Francophonie.
‘’Panafricanisme économique’’, tel est le thème de la 2ème édition de ce festival qui a été ouvert par Maurice Kouakou Bandamann, ministre de la Culture et de la Francophonie. Selon le ministre, la Côte d’Ivoire est bien intégrée dans le reggae à travers les artistes tels qu’Alpha Blondy, Tiken Jah, Ismaël Isaac et bien d’autres. Le reggae dira Bandamann, est une musique de combat par la culture et non par les armes de destruction massive. Abi-reggea, selon lui, n’est pas seulement festif, mais culturel et permet aux frères et sœurs d’outre-atlantique, de revenir sur les traces de leurs aïeux en Afrique pour se ressourcer. Puis, il a cité les contemporains tels que Nelson Mandela d’Afrique du Sud, Félix Houphouët-Boigny de Côte d’Ivoire et Kwame N’Krumah du Ghana, pour leur lutte pour l’émancipation et l’affranchissement de l’homme noir. Il a également cité Marcus Garvey et Hailé Sélassié pour leur engagement pour l’Homme noir.
Quant à Moussa Dosso, promoteur du festival, il a déclaré que durant quatre jours, Abidjan sera la capitale du reggae mondial. Il a souligné que ce festival est celui du partage du savoir avec les frères et sœurs venus de la Jamaïque, des Etats-Unis et d’Afrique. Le promoteur a annoncé que sur la scène musicale, il y aura ce qu’il y a de meilleur en ce moment en matière de reggae. Puis, il a traduit toute sa gratitude au ministre de la Culture et de la Francophonie, pour avoir porté le dossier du festival international de reggae d’Abidjan au gouvernement.
Pour le professeur Azoumana Ouattara, coordonateur du colloque du festival, il s’agit certes de danser aux son des beats-reggae mais, de réfléchir durant quatre jours sur les messages forts de Bob Marley tels que ‘’ One Love’’, Get up, stand up’’ et ‘’Redemption song’’. Les Afro-descendants vont réfléchir sur les voies et moyens qu’ils doivent se donner pour s’affranchir définitivement du joug colonial. C’est à cette préoccupation que les panélistes (personnalités de gouvernance et économique) vont y réfléchir.
Pour Honoré Séa, représentant le gouverneur du District d’Abidjan, Robert Beugré Mambé, il faut appuyer les organisateurs de ce festival car, Abi-reggea conscientise les peuples noirs sur l’esclavage. Et il a révélé que le District est partenaire à ce festival.
Le festival international de reggae d’Abidjan est organisé par l’Ong Abi dont le ministre Dosso Moussa est le président d’honneur. Abi-reggea prendra fin le dimanche 10 avril 2016.
M.Ouattara
‘’Panafricanisme économique’’, tel est le thème de la 2ème édition de ce festival qui a été ouvert par Maurice Kouakou Bandamann, ministre de la Culture et de la Francophonie. Selon le ministre, la Côte d’Ivoire est bien intégrée dans le reggae à travers les artistes tels qu’Alpha Blondy, Tiken Jah, Ismaël Isaac et bien d’autres. Le reggae dira Bandamann, est une musique de combat par la culture et non par les armes de destruction massive. Abi-reggea, selon lui, n’est pas seulement festif, mais culturel et permet aux frères et sœurs d’outre-atlantique, de revenir sur les traces de leurs aïeux en Afrique pour se ressourcer. Puis, il a cité les contemporains tels que Nelson Mandela d’Afrique du Sud, Félix Houphouët-Boigny de Côte d’Ivoire et Kwame N’Krumah du Ghana, pour leur lutte pour l’émancipation et l’affranchissement de l’homme noir. Il a également cité Marcus Garvey et Hailé Sélassié pour leur engagement pour l’Homme noir.
Quant à Moussa Dosso, promoteur du festival, il a déclaré que durant quatre jours, Abidjan sera la capitale du reggae mondial. Il a souligné que ce festival est celui du partage du savoir avec les frères et sœurs venus de la Jamaïque, des Etats-Unis et d’Afrique. Le promoteur a annoncé que sur la scène musicale, il y aura ce qu’il y a de meilleur en ce moment en matière de reggae. Puis, il a traduit toute sa gratitude au ministre de la Culture et de la Francophonie, pour avoir porté le dossier du festival international de reggae d’Abidjan au gouvernement.
Pour le professeur Azoumana Ouattara, coordonateur du colloque du festival, il s’agit certes de danser aux son des beats-reggae mais, de réfléchir durant quatre jours sur les messages forts de Bob Marley tels que ‘’ One Love’’, Get up, stand up’’ et ‘’Redemption song’’. Les Afro-descendants vont réfléchir sur les voies et moyens qu’ils doivent se donner pour s’affranchir définitivement du joug colonial. C’est à cette préoccupation que les panélistes (personnalités de gouvernance et économique) vont y réfléchir.
Pour Honoré Séa, représentant le gouverneur du District d’Abidjan, Robert Beugré Mambé, il faut appuyer les organisateurs de ce festival car, Abi-reggea conscientise les peuples noirs sur l’esclavage. Et il a révélé que le District est partenaire à ce festival.
Le festival international de reggae d’Abidjan est organisé par l’Ong Abi dont le ministre Dosso Moussa est le président d’honneur. Abi-reggea prendra fin le dimanche 10 avril 2016.
M.Ouattara
