Pour cette édition, la délégation du Cameroun était à l’honneur pour ouvrir la voie du partage et des échanges interculturels avec les frères et sœurs de pays voisins ou lointains.
Les lampions se sont éteints, le samedi 9 avril 2016, sur la 36è édition du Popo carnaval de Bonoua. Le grand défilé carnavalesque a mis fin à la traditionnelle fête de célébration de la culture abouré. L’édition 2016 a confirmé la volonté des organisateurs et des autorités locales à aller résolument à l’internationalisation.
Une ouverture qui, a dit Jean Hoba, le commissaire général, s’est concrétisée par la présence effective et qualitative de plusieurs délégations venues de pays étrangers. Pour cette édition, la délégation du Cameroun était à l’honneur pour ouvrir la voie du partage et des échanges interculturels avec les frères et sœurs de pays voisins ou lointains.
La fête de cette année a revêtu un caractère particulier d’autant qu’elle fait suite à l’attaque perpétrée dans la cité voisine de Grand-Bassam. Et c’est pour confirmer la préférence des populations de Bonoua et des autorités de cette ville pour la vie et dire au monde entier que le peuple entier reste debout, que cette édition a été maintenue, a déclaré le député-maire Johnwan Téké Norbert.
Il a plu à l’élu d’inviter les participants à cette édition à prendre rendez-vous pour la 37è édition qui, a-t-il annoncé, revêtira les couleurs officielles jaune et vert. Il a par ailleurs traduit la reconnaissance de toute la population de Bonoua au Premier ministre Daniel Kablan Duncan, le parrain de l’édition 2016.
Revenant sur la volonté affichée des organisateurs à s’ouvrir de plus en plus au monde, Dembélé Fousséni, représentant le parrain et du ministre de la Culture et de la Francophonie, s'est réjoui de cet élan de panafricanisme qui a pris son envol à cette édition. Avant de saluer la qualité, la richesse et l’authenticité de la culture abouré.
Notons que les articulations majeures telles la foire commerciale, les élections du plus bel homme (Ebè), de la plus belle femme (Awoulaba) et une journée-hommage à l’homme de culture Adjé Daniel, fils du terroir, ont meublé cette 36è édition du Popo carnaval.
ARSÈNE KANGA
Les lampions se sont éteints, le samedi 9 avril 2016, sur la 36è édition du Popo carnaval de Bonoua. Le grand défilé carnavalesque a mis fin à la traditionnelle fête de célébration de la culture abouré. L’édition 2016 a confirmé la volonté des organisateurs et des autorités locales à aller résolument à l’internationalisation.
Une ouverture qui, a dit Jean Hoba, le commissaire général, s’est concrétisée par la présence effective et qualitative de plusieurs délégations venues de pays étrangers. Pour cette édition, la délégation du Cameroun était à l’honneur pour ouvrir la voie du partage et des échanges interculturels avec les frères et sœurs de pays voisins ou lointains.
La fête de cette année a revêtu un caractère particulier d’autant qu’elle fait suite à l’attaque perpétrée dans la cité voisine de Grand-Bassam. Et c’est pour confirmer la préférence des populations de Bonoua et des autorités de cette ville pour la vie et dire au monde entier que le peuple entier reste debout, que cette édition a été maintenue, a déclaré le député-maire Johnwan Téké Norbert.
Il a plu à l’élu d’inviter les participants à cette édition à prendre rendez-vous pour la 37è édition qui, a-t-il annoncé, revêtira les couleurs officielles jaune et vert. Il a par ailleurs traduit la reconnaissance de toute la population de Bonoua au Premier ministre Daniel Kablan Duncan, le parrain de l’édition 2016.
Revenant sur la volonté affichée des organisateurs à s’ouvrir de plus en plus au monde, Dembélé Fousséni, représentant le parrain et du ministre de la Culture et de la Francophonie, s'est réjoui de cet élan de panafricanisme qui a pris son envol à cette édition. Avant de saluer la qualité, la richesse et l’authenticité de la culture abouré.
Notons que les articulations majeures telles la foire commerciale, les élections du plus bel homme (Ebè), de la plus belle femme (Awoulaba) et une journée-hommage à l’homme de culture Adjé Daniel, fils du terroir, ont meublé cette 36è édition du Popo carnaval.
ARSÈNE KANGA