Le Festival international de reggae d’Abidjan appelé ‘’Abi-reggae’’ a clos ses portes dans la nuit du dimanche 10 au lundi 11 avril 2016 au palais de la Culture de Treichville en présence de son promoteur Dosso Moussa qui a donné de bonnes nouvelles.
Le ministre Dosso Moussa, promoteur de ce festival est monté sur le podium dressé à moitié sur le plan d’eau lagunaire pour déclarer aux Rastas et aux Panafricains que la prochaine édition ‘’Abi-reggae’’ aura lieu en avril 2017. Dans son discours de Rastaman, il a traduit toute sa reconnaissance à tous les artistes et participants venus d’ailleurs et de la Côte d’Ivoire. En outre, le promoteur Dosso Moussa a promis de faire de l’édition 2017, celle de la maturité. Toute chose saluée par les Rastamen qui ont évoqué le nom et le salut à Hailé Sélassié le Jah pour dire merci au ministre rastamen. Avant la brève intervention du promoteur Dosso Moussa, le groupe jamaïcain, Morgan Héritage était sur la scène pour donner des notes de reggae roots comme il sait le faire. Et le public s’en est donné à cœur joie. Pour ce concert de clôture, il y avait plus de groupes dont Massa Falasha.
Samedi, Tiken a enflammé le palais
Dans la nuit du samedi 9 au dimanche 10 avril 2016, Tiken Jah Facoly a mis le feu au palais. Il est 4 heures et 30 minutes, lorsque le descendant de Facoly fait son apparition sur la scène de l’Abi Reggae. Il commence la ‘’messe’’ par l’interprétation du titre « Brigadier Sabari» d’Alpha Blondy. Ainsi, la grand-messe peut commencer. L’artiste accompagné de son orchestre enchaîne les tubes a succès de son riche patrimoine musical. Il fait monter le mercure de l’ambiance à son sommet le plus haut pendant plus de 1 heure et 15 minutes allant de ses classiques au moins connus. Tiken Jah interprète les derniers titres de sa prestation. Les Rastas forment une ronde spontanée et dansent comme ils savent le faire. Le public est en délire. Les mélomanes étaient visiblement satisfaits d’être présents. Une seule phrase semblait s’afficher sur les lèvres des festivaliers « Fiers d’avoir pris part à cette soirée dédiée aux fils de Jah ». Pour ce concert tant annoncé depuis plusieurs mois, déjà à 18 heures, les enfants de Jah et les fans de l’artiste étaient là et attendaient impatiemment. Avant Tiken, ce sont des artistes et des groupes qui sont passés sur la scène. Il s’agit de Kingston Gang Star de la Côte d’Ivoire, Mirna du Liban, Sydney Salmon d’Ethiopie, Naftaly de la Côte d’Ivoire, le philosophe Mutabaruka et Julian Marley de la Jamaïque.
M.Ouattara et SK
Le ministre Dosso Moussa, promoteur de ce festival est monté sur le podium dressé à moitié sur le plan d’eau lagunaire pour déclarer aux Rastas et aux Panafricains que la prochaine édition ‘’Abi-reggae’’ aura lieu en avril 2017. Dans son discours de Rastaman, il a traduit toute sa reconnaissance à tous les artistes et participants venus d’ailleurs et de la Côte d’Ivoire. En outre, le promoteur Dosso Moussa a promis de faire de l’édition 2017, celle de la maturité. Toute chose saluée par les Rastamen qui ont évoqué le nom et le salut à Hailé Sélassié le Jah pour dire merci au ministre rastamen. Avant la brève intervention du promoteur Dosso Moussa, le groupe jamaïcain, Morgan Héritage était sur la scène pour donner des notes de reggae roots comme il sait le faire. Et le public s’en est donné à cœur joie. Pour ce concert de clôture, il y avait plus de groupes dont Massa Falasha.
Samedi, Tiken a enflammé le palais
Dans la nuit du samedi 9 au dimanche 10 avril 2016, Tiken Jah Facoly a mis le feu au palais. Il est 4 heures et 30 minutes, lorsque le descendant de Facoly fait son apparition sur la scène de l’Abi Reggae. Il commence la ‘’messe’’ par l’interprétation du titre « Brigadier Sabari» d’Alpha Blondy. Ainsi, la grand-messe peut commencer. L’artiste accompagné de son orchestre enchaîne les tubes a succès de son riche patrimoine musical. Il fait monter le mercure de l’ambiance à son sommet le plus haut pendant plus de 1 heure et 15 minutes allant de ses classiques au moins connus. Tiken Jah interprète les derniers titres de sa prestation. Les Rastas forment une ronde spontanée et dansent comme ils savent le faire. Le public est en délire. Les mélomanes étaient visiblement satisfaits d’être présents. Une seule phrase semblait s’afficher sur les lèvres des festivaliers « Fiers d’avoir pris part à cette soirée dédiée aux fils de Jah ». Pour ce concert tant annoncé depuis plusieurs mois, déjà à 18 heures, les enfants de Jah et les fans de l’artiste étaient là et attendaient impatiemment. Avant Tiken, ce sont des artistes et des groupes qui sont passés sur la scène. Il s’agit de Kingston Gang Star de la Côte d’Ivoire, Mirna du Liban, Sydney Salmon d’Ethiopie, Naftaly de la Côte d’Ivoire, le philosophe Mutabaruka et Julian Marley de la Jamaïque.
M.Ouattara et SK