Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko a annoncé, dans le cadre de l’enquête qui a fait suite à l’attentat survenu dans la ville de Grand-Bassam le 13 mars dernier, que 83 personnes ont été interpellées dont 16 liées directement à l’attentat.
Selon le ministre d’Etat, « des personnes sont activement recherchées notamment au Mali ». Où deux personnes ont été arrêtées. Même s’il a souhaité ne pas en dire plus pour permettre le bon déroulement de l’enquête, Hamed Bakayoko a dit que tout est mis en œuvre pour retrouver les commanditaires de cet attentat.
Il a en outre révélé que les auteurs de l’attentat avant leur forfait, ont loué une petite villa dans le sous-quartier d’Adjouffou dans la commune de Port-Bouet. Ils se sont rendus à Bassam comme des gens normaux en louant une chambre dans un hôtel de la ville avant de se rendre sur la plage pour commettre leur attaque. Bien que la lutte contre le terrorisme soit asymétrique, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité a réitéré l’engagement du Gouvernement de faire en sorte que la réaction à cet attentat soit de nature à dissuader toute velléité de récidive.
Le ministre Hamed Bakayoko intervenait à l’occasion de la cérémonie de remise de chèques à des organisations socioprofessionnelles et à la mairie conformément à l’engagement pris par le Chef de l’Etat au cours du Conseil des ministres du 16 mars dernier. Ce sont 300 Millions de F CFA que le Gouvernement a débloqué pour « appuyer » la reprise et le relance de l’activité économique à Grand-Bassam.
200 Millions de F CFA ont été remis aux hôteliers, 50 millions aux artisans, commerçants et transporteurs et 50 millions à la Mairie de Grand Bassam. Le ministre Hamed Bakayoko a annoncé l’organisation de manifestations importantes les mois à venir pour aider à la relance des activités économiques dans la ville.
Le Directeur général de l’Hôtel TERESO, Dembélé Yaya, a au nom des bénéficiaires de l’appui du Gouvernement, di son infinie gratitude au Chef de l’Etat, Alassane Ouattara et au Gouvernement. « Nous prenons l’engagement de faire en sorte que ce qui nous a été remis serve la cause des uns et des autres », a-t-il dit.
Un mois après l’attentat, l’activité économique à Bassam peine toujours à décoller.
Elisée B.
Selon le ministre d’Etat, « des personnes sont activement recherchées notamment au Mali ». Où deux personnes ont été arrêtées. Même s’il a souhaité ne pas en dire plus pour permettre le bon déroulement de l’enquête, Hamed Bakayoko a dit que tout est mis en œuvre pour retrouver les commanditaires de cet attentat.
Il a en outre révélé que les auteurs de l’attentat avant leur forfait, ont loué une petite villa dans le sous-quartier d’Adjouffou dans la commune de Port-Bouet. Ils se sont rendus à Bassam comme des gens normaux en louant une chambre dans un hôtel de la ville avant de se rendre sur la plage pour commettre leur attaque. Bien que la lutte contre le terrorisme soit asymétrique, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité a réitéré l’engagement du Gouvernement de faire en sorte que la réaction à cet attentat soit de nature à dissuader toute velléité de récidive.
Le ministre Hamed Bakayoko intervenait à l’occasion de la cérémonie de remise de chèques à des organisations socioprofessionnelles et à la mairie conformément à l’engagement pris par le Chef de l’Etat au cours du Conseil des ministres du 16 mars dernier. Ce sont 300 Millions de F CFA que le Gouvernement a débloqué pour « appuyer » la reprise et le relance de l’activité économique à Grand-Bassam.
200 Millions de F CFA ont été remis aux hôteliers, 50 millions aux artisans, commerçants et transporteurs et 50 millions à la Mairie de Grand Bassam. Le ministre Hamed Bakayoko a annoncé l’organisation de manifestations importantes les mois à venir pour aider à la relance des activités économiques dans la ville.
Le Directeur général de l’Hôtel TERESO, Dembélé Yaya, a au nom des bénéficiaires de l’appui du Gouvernement, di son infinie gratitude au Chef de l’Etat, Alassane Ouattara et au Gouvernement. « Nous prenons l’engagement de faire en sorte que ce qui nous a été remis serve la cause des uns et des autres », a-t-il dit.
Un mois après l’attentat, l’activité économique à Bassam peine toujours à décoller.
Elisée B.
